ce qui est formidable , c'est qu'on peut constater que le béké n'a pas réussi à corrompre tout le monde , que le message est passé et que certains ont compris la GRAVITÉ DE LA SITUATION . NOUS SOMMES TOUS , GUADELOUPÉENS ET MARTINIQUAIS , ASSASSINÉS AU CHLOREDÉCONE, À L'ASULOX ET AU GLYPHOSATE , qu'une bonne partie de la population intelligente , va changer son alimentation , que d'autres iront vers l'auto-suffisance , que nos aînés feront leurs devoirs de transmission afin que notre jeunesse apprenne à cultiver sain , à guérir avec leurs propres plantes médicinales , que les citoyens apprendrons à ne plus croire en leurs élus qui nous ont menti jusqu'au bout , qui ont défendu les intérêts de ces descendants de criminels jusqu'au bout , qui nous ont manipulé dans les médias békés et colons jusqu'au bout , ont utilisé les pires ruses pour nous assassiner , jusqu'au bout , sans jamais porter atteinte à l'intégrité de ceux qui les financent 1 fois . J'espère que vous avez compris qu'on ne peut changer l'esprit d'un animal même après 500 ans , que si vous voulez sauver la génération futur , il faudra composer sans ces agoulous grands fales et c'est possible , sachez qu'il existe des entrepreneurs martiniquais , des agriculteurs certifiés martiniquais , des artisans martiniquais , qu'on n'est pas obligé de consommer modèle occidentale qui nous tue à petit feu , on peut opter pour LA VIE , CELLE DE NOS ENFANTS , CELLE DE NOTRE BIODIVERSITÉ , CELLE DE NOTRE ÎLE , CELLE DE L'HUMAIN SURTOUT . Fòs ek kouraj ba sa ki Ka goumen pou sové péyi'a , l'èspri Mwen la épi zòt menm si an pé pa la épi zòt , aillez du courage pour la suite , ne baissez surtout pas les bras , la cause est NOBLE ET JUSTE , un jour le peuple comprendra pourquoi , ils comprendront pour qui , ils verront que le " mal " était nécessaire , parce que LE MAL , LES A LAISSÉ FAIRE , ils ont détruit la vie de 90 % des " antillais " pour réguler notre population et mettre en place le grand remplacement , aujourd'hui vous trouvez ceci complotiste demain vous serez choqués de ce que certains sont capables de faire pour continuer à exister . Je ne me suis jamais basée sur les 60 % que je n'ai pas pu convaincre mais sur les 20 convaincus de plus qui font toute la différence , car Combien ses 20 convaincront et seuls mes ancêtres savent Combien nous en convaincront encore , malgré les critiques et manigancent de ceux qui ont poursuivi le génocide de leurs parents. Je ne sais pas ce que l'avenir me réserve, si j'en aurais un , si l'argent d'une de ces vermines ne servira pas à me faire taire définitivement , si j'aurais le temps, un jour , de voir mes petits enfants , si je verrais le changement mais en tout cas , comme beaucoup avant moi , J'AURAIS FAIT MA PART et quand mes enfants et arrières petits enfants parleront de moi , j'espère qu'ils seront fiers car jusqu'au bout , je me serais battus contre ces crapules , je leur aurait montré que JE N'AI PAS PEUR D'EUX , PAS PEUR DE LEURS AMIS CORROMPUS , PAS PEUR DE LEURS MAGOUILLES , PAS PEUR DES AUTORITÉS QUI LES SERVENT , PAS PEUR DES NOIRS QU'ILS ACHÈTENT , PAS PEUR DE LEURS CHIENS DE CHASSES , PAS PEUR DE LES DIABLES , PAS PEUR DE LEURS ESPIONS INFILTRÉS , PAR PEUR D'EUX . ils auront ma peau mais pas mon esprit ni mon âme et peux importe d'où je serais , un gros MOTHER FUCKER 🖕🏿 , dérangera Toujours leur tranquillité car des âmes sensibles et convaincus , nous avons conscientisé . LA VÉRITÉ ET LE BIEN TRIOMPHERONT SUR LE MAL , J'Y CROIS FERMEMENT !!!
Au fond, Bernard Hayot a rendu, à son insu, un immense service aux activistes martiniquais anti-chlordécone, en torpillant leur appel au boycott avec une alléchante promotion de champagne à 15,00 euros la bouteille. Son groupe a fait la démonstration, en images et sans filtre, de ce qu’est une société endettée, droguée à la surconsommation. L’homme d’affaires savait que son opération promotionnelle lancée le jour même de l’appel à boycotter son enseigne Carrefour Genipa, torpillerait l’action des manifestants. Il savait que rien n’arrêterait le ras de marée de ses clients, alléchés par les senteurs du champagne ! Une stratégie assurément payante, qui s’est révélée bien plus efficace que les escadrons de gendarmerie déployés, en vain depuis plusieurs semaines, pour tenter de contrer les activistes qui l’ont pris pour cible. Et pour cause, les Martiniquais sont raids dingues de champagne. Ils en sont les premiers buveurs au monde. Cette petite île perdue au milieu de la Caraïbe détient en effet le record mondial de consommation de champagne avec 3,5 bouteilles consommées en moyenne par an et par habitant. Si la mobilisation des activistes n’a guère fait recette, le coup de pub de Bernard Hayot a incidemment braqué les projecteurs sur une société en perdition, engluée dans une frénésie consumériste. Il a mis en lumière une société fracturée avec d’un côté les tenants d’une économie du tout-importation et de l’autre une frange de la population réclamant des mesures afin de donner, à cette petite île perdue au milieu de l’océan, les moyens d’assurer une partie de son indépendance alimentaire. La Martinique importe plus de la moitié de ce qu’elle consomme, tous produits confondus. Choc des cultures Quel choc de cultures entre ces activistes déterminés à bloquer les accès du centre commercial de l’homme d’affaires et cette horde de clients ne reculant devant rien pour profiter coûte que coûte des promotions de champagne, un vin en principe symbole de réconciliation ! Les images stupéfiantes qui circulent abondamment sur les réseaux sociaux donnent à voir, non sans un certain malaise, la perversité de cette surconsommation que les activistes étaient venus entre-autres dénoncer. Des clients empilant, dans une cohue indescriptible, des cartons entiers de champagne dans des caddies remplis jusqu’à la gueule. D’autres se bousculant pour attraper au vol une bouteille de champagne distribuée derrière un barrage de sécurité, renvoyant à ces images de réfugiés se battant pour leur survie lors d’une distribution d’aide alimentaire. L’image de cette société malade dans tous les sens du terme, qui se jette sur l’os qu’on lui donne à ronger, est révélatrice d’un mal plus profond qui gangrène cette petite ile aux allures paradisiaques. Une société qui se vide de sa population, dont le taux de chômage atteint 18% de la population active. Une société tertiairisée qui vit au-dessus de ses moyens avec un taux d’endettement qui la situe au 5ème rang des régions les plus endettées de France. Ceux-là même qui se plaignent de fins de mois difficiles dans une île chlordéconée, mais qui dans le même temps se précipitent pour acheter des cartons de champagne. Derrière son image de carte postale, la Martinique souffre d’une violence sourde que nombre d’élus n’hésitent pas à instrumentaliser pour défendre leur pré-carré. Le taux d’abstention record aux précédentes élections, est révélateur de la défiance qui s’est installée entre les habitants et leurs élus, plus préoccupés par la pérennité de leur mandat. Pour preuve, à l’approche des municipales, la nervosité de la classe politique est palpable. Pas un jour ne se passe sans son lot d’invectives et d’insultes.
Le chlordécone, ce monstre chimique qui empoisonne et tue tous les jours, a été introduit en Martinique par un groupe de gens sans scrupules. Il est là, tapis dans l’ombre, pour 7 siècles ! Il n’a jamais été invité par les Martiniquais, tout au moins ceux qui aiment leur île. Par conséquent, il est indésirable ! Il n’est pas le bienvenu. Alors comment ne pas en parler tous les jours, au regard de la catastrophe qu’il a provoquée ? La population continue à ce jour de boire une eau du robinet polluée et à manger des produits contaminés par ce dangereux pesticide. Comment ne pas en parler ? C’est le contraire qui aurait été incompréhensible. A ce jour, rien de concret n’a été fait pour apporter des réponses urgentes susceptibles d’apaiser l’anxiété de la population face à cet écocide provoqué par le chlordécone. Pas même l’ouverture d’espaces de parole pour informer, expliquer la situation. Les autorités ont assez traîné. Il faut surtout qu’elles arrêtent les parlottes et agissent vite ! Une tel traitement n’aurait jamais été toléré, ni envisagé dans l’Hexagone ! Pour avoir suivi plusieurs crises sanitaires dans l’Hexagone dont la vache folle et le sang contaminé, je peux dire que la réactivité n’a pas été la même. Pas un jour ne se passait sans qu’il y ai des articles dans les médias français et internationaux, des déclarations d’apaisement de la part des autorités politiques, sanitaires, des hommes politiques, des élus, ect.... Pourquoi devrions-nous taire ? L’anxiété est légitime en l’absence de réponses. Le rapport de la Commission d’enquête est pour l’instant lettre morte. Il n’est toujours pas suivi de mesures concrètes. Force est de constater qu’il a fallu récemment la pugnacité d’élus d’Outre Mer, obligés de se battre contre le gouvernement, pour faire adopter au Sénat un malheureux amendement pour la prise en charge gratuite d’une partie des tests de dépistage du chlordécone dans le budget 2020. Et rien n’est gagné, il va falloir se battre à nouveau contre les députés de la LREM pour que cet amendement soit adopté devant le Parlement. Comment ne pas parler du chlordécone tous les jours dans de telles conditions ? Comment ne pas en parler tous les jours quand le Président de la Commission d’enquête du chlordécone, Serge Letchimy, avoue lui-même qu’il reste prudent parce qu’il n’a pas confiance dans les politiques. C’est vrai, Il s’agit de la santé et de la vie de plusieurs centaines de milliers de personnes vivant à des milliers de kilomètres, perdues au milieu de l’océan dont on n’entend ni les cris ni les souffrances. «Loin des yeux, loin du cœur», comme dit la chanson de Demis Roussos.