jeudi 3 décembre 2009

MEETING CONTRE L’INJUSTICE



Mercredi 9 décembre 2009 à 18 H 00
MUTUALITE Bd du Général de Gaulle à Fort de France


Dans la logique de son action pour l’équité, l’Association PALM, POU AKSYON LEJITIM MATINIK, (Loi de 1901) a choisi de mettre en avant parmi les dossiers de ses adhérents les 8 affaires suivantes :

• SAINRIMAT (spoliation immobilière à Sainte-Luce – 12 ans de procédure) ;
• NIVAN (spoliation immobilière aux Anses d’Arlet : 20 ans de procédure) ;
• JEAN-FRANCOIS (spoliation commerciale sur le site aéroportuaire – ( 12 ans de procédure) ;
• RILOS (le CER ou Affaire Outreau style Martinique) ;
• CELIMENE (violences policières) ;
• LAMIC (violences policières à connotation raciale) ;
• LECURIEUX-BEAUFOND (abus de pouvoir caractérisé) ;
• ANDRE Hubert (spoliation commerciale) ;
• DELOY (déni de justice).

Pendant 28 jours, l’Association PALM a accompagné Nicolas LAMIC et Gérard NIVAN dans leur grève de la faim contre les injustices du Système Judiciaire.

Aujourd’hui, plus que jamais, le peuple martiniquais doit être vigilant et exercer son droit de regard sur les dysfonctionnements de la chose judiciaire.

A cet effet, tu es invité au MEETING du Mercredi 9 décembre 2009 à la MUTUALITE – Bd Général de Gaulle à Fort de France à partir de 18 H 00.


Ce 26 /11/ 09


TELECHARGER LA PETITION

mardi 1 décembre 2009

Sida : la France doit tenir ses engagements

PAR DES DÉPUTÉ(E)S DU GROUPE PARLEMENTAIRE D’ÉTUDES SUR LE SIDA (*)
Peut-on laisser le gouvernement réduire le fi nancement d’Unitaid ?

« Au cours des cinq dernières années, la fourniture de traitements antirétroviraux a été multipliée par dix, ce qui a contribué au premier déclin du nombre de décès depuis trente ans », s’est félicité M. Ban Ki-moon, secrétaire général des Nations unies lors de l’Assemblée générale de l’ONU le 16 juin 2009. Il a estimé que « ce financement doit être porté à 25 milliards de dollars à l’horizon 2010 pour que les objectifs nationaux d’accès universel soient atteints ». Des millions de personnes dans le monde qui ont besoin d’un traitement contre le VIH, ne disposent pas encore de ces médicaments. Or, de nombreux gouvernements, poussés par la crise économique et financière, effectuent des coupes budgétaires dans leurs programmes bien que le monde dispose des ressources nécessaires pour respecter les engagements dans la lutte contre le VIH. « Si on autorise des réductions maintenant, nous ferons face à une augmentation des coûts et à de grandes souffrances humaines à l’avenir », estimait, pour sa part, le président de l’assemblée générale des Nations unies, M. d’Escoto Brockmann.

Unitaid (facilité d’achat de médicaments créée en 2006) joue un rôle central face à ces enjeux. Financé par la taxe de solidarité sur les billets d’avion proposée initialement par les présidents Chirac et Lula da Silva, Unitaid, par son action, a divisé par trois le prix du traitement VIH, et a multiplié par dix le nombre d’enfants séropositifs bénéficiant d’un traitement. La France, en 2008, a contribué pour 160 millions d’euros au financement d’Unitaid. C’est un décret du 12 septembre 2006 qui fixe les conditions d’utilisation de la taxe sur les billets d’avion : « Les recettes de la majoration de la taxe d’aviation civile… sont utilisées à hauteur d’au moins 90 % pour le financement de la facilité internationale d’achat de médicaments (Unitaid) et, dans la limite de 10 %, pour le remboursement de la première émission d’emprunt de la facilité de financement internationale pour la vaccination (IFFim). » (Article 1.)

Aujourd’hui, le gouvernement veut baisser l’affectation de la taxe à Unitaid au profit de l’aide bilatérale française. Des associations (1) de lutte contre le sida se sont adressées au président de la République pour lui faire savoir leur « consternation ». Nous, députés, membres du groupe d’études sur le sida de l’Assemblée nationale, nous partageons ce sentiment. Si les projets annoncés devaient aboutir, la contribution de la France diminuerait de 30 % en 2009 par rapport à 2008 (110 millions au lieu de 160). La création de la taxe de solidarité internationale est une initiative dont la France peut s’enorgueillir, en particulier en ce moment où la communauté internationale discute d’une taxe sur les transactions financières. Affaiblir cette taxe de solidarité serait un signe négatif donné par la France pour les pays qui envisageaient sa mise en place et pour l’instauration d’autres financements nouveaux. La France a la capacité d’augmenter les crédits alloués à la lutte contre le sida et de soutenir un instrument innovant et efficace comme Unitaid. Elle se doit de tenir ses engagements. « Ce n’est pas le moment de relâcher les efforts alors qu’il y a toujours un ratio de cinq nouvelles infections pour deux personnes sous traitement », a insisté M. Ban Ki-moon le 16 juin 2009. Avec les associations, nous appelons le président Sarkozy à confirmer les engagements de la France pour une contribution à Unitaid à bonne hauteur et pour l’emploi multilatéral de la taxe sur les billets d’avion.

(*) Marie-George Buffet (Seine-Saint-Denis), présidente du groupe d’études sur le sida, et Abdoulatifou Aly (Mayotte), Gérard Bapt (Haute-Garonne), Jean-Claude Beaulieu (Charente- Maritime), Martine Billard (Paris), Patrick Bloche (Paris), André Chassaigne (Puy-de-Dôme), Jean Pierre Door (Loiret), Catherine Genisson (Pas-de- Calais), Jean-Christophe Lagarde (Seine-Saint-Denis), Jean-Marie Leguen (Paris), Catherine Lemorton (Haute-Garonne), Martine Linières-Cassou (Pyrénées- Atlantiques), François Loncle (Eure), Martine Martinel (Haute-Garonne), Alain Marty (Moselle), Christiane Taubira (Guyane), Jean Louis Touraine (Rhône), Alain Vidalies (Landes), André Wojciechowski (Moselle).

(1) ACT UP Paris, Aides, Avocats pour la santé dans le monde, Sidaction Solthis, Solidarité sida

source

lundi 30 novembre 2009

Colloque International « Afrique en Perspectives »

Colloque International « Afrique en Perspectives »
A l’occasion de la commémoration du cinquantenaire des indépendances en Afrique
Institut d’Etudes Politiques de Paris, du 15 au 16 juillet 2010

L’ASEAF organise chaque année un événement scientifique de haut niveau qui réunit tous les acteurs du continent. En 2010, en collaboration avec les Ambassades Africaines et plusieurs collectivités publiques, la problématique générale du Colloque International « Afrique en Perspectives » s’interrogera sur les processus de décolonisation et des indépendances.

Colloque International sur la décolonisation
Les Indépendances : 50 ans après ?
« Un Peuple sans mémoire, c’est un peuple sans avenir »
L’histoire de la décolonisation et des indépendances fait partie intégrante du patrimoine commun de l’Afrique. Les étudiants Africains de la FEANF (Fédération des Etudiants d’Afrique Noire en France) et des dignes fils et filles de l’Afrique ont milité pour les indépendances : les étudiants Africains de l’ASEAF veulent leur rendre hommage tout en s’interrogeant sur les perspectives d’avenir. Qu’est-ce qu’ils ont fait des indépendances ? Qu’avons-nous fait de nos indépendances ? Qu’allons nous faire de notre indépendance ?
Contrairement à nos habitudes de publier un programme du colloque presque bouclé, l’événement est très important pour s’en approprier et en déterminer les contours scientifiques, idéologiques et socio-politiques. Nous faisons appel à la mémoire et à des intelligences collectives pour bâtir un programme complet qui sera au centre d’un grand débat de société passionné les 15 et 16 juillet 2010 à Paris.
Par conséquent nous demandons à toute personne de bonne volonté de nous faire part de ses observations, de ses interrogations, de ses suggestions et du sens à donner à cet événement collectif. Si vous connaissez un grand témoin ou acteur de ces processus de décolonisations et des indépendances, nous vous prions de nous mettre en contact avec lui.
Comme nous le faisons chaque année, nous contacterons l’ensemble des ambassadeurs africains en France, afin qu’ils relaient dans leur pays d’origine notre souhait de recevoir à Paris les ministres concernés par les sujets proposés, ainsi que le plus grand nombre de « femmes et d’hommes d’influence ou de pouvoir » africains. Nous inviterons également des intellectuels et des responsables politiques et de la société civile pour réfléchir sur le nouvel élan, le sens et l’orientation à donner à l’indépendance totale de l’Afrique dans les 50 ans à venir.
Construisons notre histoire : hommage aux héros des indépendances et aux champions des libertés en Afrique.
Patriotiquement,
Paul KANANURA

Président de l’ASEAF

Communiqué du Collectif de Soutien à Jean-Marie ANANY.

CRAMIF XIXème : Jean-Marie ANANY n’est toujours pas réintégré !


Le 11 mai dernier, Jean-Marie ANANY, agent de la CRAMF XIXème depuis 10 ans, a entamé une grève de la faim contre un licenciement arbitraire et raciste de la part du directeur de la CRAMIF Ile-De-France, Gérard Roppert.

Sur l'ordre de M.Olivier Decadville, Vice Pdt de la CNAM, Pierre Albertini, directeur général de la CPAM 93, s’est engagé par écrit à prendre "la décision de réintégration au sein de la Caisse primaire de Seine-Saint-Denis" de Jean-Marie ANANY, mettant ainsi fin in extremis à sa grève de la faim.

Or, à ce jour, Jean-Marie Anany n’est toujours pas réintégré à la CPAM 93, ni à la CRAMIF XIXème, étant donné qu’il n’a pas voulu céder au chantage de nouveau exercé à son encontre. La CPAM 93 exige en effet de ce dernier qu’il abandonne « toutes les poursuites entamées » en échange. Autrement dit, Jean-Marie ANANY doit abandonner la plainte pour les pratiques racistes subies durant des années. Il en est hors de question.

Le comité de soutien à Jean-Marie ANANY continue la lutte et appelle à :



Rassemblement à la CRAMIF

17-19, avenue de Flandre – 75019 Paris,
Métro : Stalingrad

Mardi 1er décembre 2009 à 12 h


Pour exiger:
- La réintégration immédiate et sans conditions de Jean-Marie ANANY,
- La condamnation des pratiques racistes et arbitraires de la CRAMIF.


Nous appelons, tous les salariés et militants de l‘entreprise, habitants du quartier, à nous rejoindre dans ce combat jusqu’à ce que les revendications soient satisfaites.

Ensemble, nous gagnerons !


Collectif de Soutien à Jean-Marie ANANY :
Premiers signataires: MRAP 19/20, Mouvement des Quartiers (MQJS), Armada, Alternative Libertaire (AL).

samedi 28 novembre 2009

Invitation

Réunion débat
sur le mouvement conduit par LKP
depuis 10 mois en Guadeloupe
et les autres mouvements dans la Caraïbe
Kolektif 5 fevryé (K5F) en Martinique,
Front pour l’Avenir de la Guyane (FPAG), CIE-H en Haïti

Samedi 12 décembre 2009
à 17h00
87, rue du Faubourg-Saint-Denis, 75010 Paris
Local du Parti Ouvrier Indépendant
(M° Château-d’Eau)

Projection d’un DVD
sur les 44 jours de grève générale
en Guadeloupe

Débat animé par un responsable
de Travayé é Péyizan, membre du LKP,
avec la participation de CLKP

Lettre de Travayé é Péyizan


Les états généraux du gouvernement français n'étaient bel et bien qu'une tentative pour reprendre la main face à l’ébranlement de l’empire colonial occasionné par le mouvement en cours depuis plus de 10 mois. Une démarche pour mettre en place une "gouvernance réorganisée du colonia­lisme".

En effet, dans son discours du 6 novembre 2009 à l'intention des "Outre-Mer", les dernières colo­nies de la France, en conclusion de ses états généraux, le président français ne s'est pas adressé aux travailleurs, ni à la jeunesse, ni au peuple de ces pays. Il n'a donc pas répondu aux revendica­tions. Il n'a donc pas répondu à la plate-forme de LKP. La seule fois où il y a fait allusion, c'était pour proférer des menaces. Sachant qu'il n'apporterait aucune réponse satisfaisante pour les travail­leurs, pour la jeunesse, il a commencé par dépêcher plus de 800 gardes mobiles supplémentai­res en Guadeloupe depuis un mois, de même que les services de la Direction de la Surveillance du Territoire (DST). Il a renforcé son appareil judiciaire répressif ; c'est ainsi que quatre substituts supplémentaires ont été nommés aux côtés des procureurs de Pointe-à-Pitre et de Basse-Terre. Au lieu de mettre en place un plan d’urgence pour l’emploi, la formation et l’insertion de la jeunesse, comme prévu dans l’Accord du 4 mars 2009 qui a suspendu la grève de 44 jours, il a mis en place un plan de répression contre les jeunes.

Après des syndicalistes de l'UGTG, de ses avocats, voilà que la répression anti-syndicale frappe d'autres délégués, deux dirigeantes de l'UNSA, membres très actives de LKP, une déléguée de l’UGTG, toutes les trois menacées de licenciement pour leurs activités syndicales au sein de leurs entreprises.

Le président français s'est adressé aux patrons pour leur faire des cadeaux supplémentaires, des millions pour les patrons véreux de l'hôtellerie qui font tout pour casser la convention collective du secteur, prétextant de mauvais résultats à cause de la grève générale de 44 jours. Les travailleurs du Club Méditerranée sont mobilisés avec l'UGTG et la CGTG (syndicats majoritaires) pour faire casser un accord signé en ce sens par un syndicat minoritaire.

Il n'a pris aucune disposition même pour diminuer les rentes de situation des békés qui génèrent la pwofitasyon. C'est la pérennisation de l'économie de plantation qui perdure depuis 400 ans.

Il s'est adressé aussi aux élus dits légitimes, à ceux qui garantissent le maintien du système colo­nial, qui font fonctionner les institutions coloniales dans nos pays, en leur demandant de renforcer la pro­motion de la France dans leurs régions géographiques, de renforcer le rôle de vitrine de la France. Pour l'exemple, sachez qu'un port en eau profonde est en construction en Guadeloupe qui doit servir de port de redistribution dans les Caraïbes des marchandises importées de France et d'Europe.

La secrétaire d’Etat aux Colonies qui vient d’être « élevée » au grade de ministre pour la circons­tance, en campagne électorale en Guadeloupe (elle se présente aux prochaines régionales), n’a fait que confirmer tout cela. A la délégation de LKP qu’elle avait invitée, samedi matin 14 novembre, dans le cadre du Comité de suivi du Protocole d’Accord du 4 mars, elle n’a apporté aucune réponse sur le non respect des engagements pris par l’Etat. Par contre, elle n’a pas oublié de proférer des menaces. Il faut ajouter qu’en plus du dispositif policier et répressif mis en place, des hélicoptères tournent presque 24 heures sur 24 dans le ciel guadeloupéen depuis quelques semaines.

Mais la mobilisation se poursuit. Les meetings se poursuivent et sont toujours aussi populaires, de même que les Liannaj a Pawol. Plus de 2000 personnes avaient accompagné LKP à la préfecture de Basse-Terre où se tenait la rencontre avec la ministre. Elles sont parties en manifestation sponta­née dans les rues de la ville à l’annonce du résultat de la rencontre. Un appel à une grève générale d’avertissement a été lancé pour le mardi 24 et le mercredi 25 novembre 2009.

Pointe à Pitre, le 20 novembre 2009

dimanche 22 novembre 2009

Journée d'action du 24 (Education Nationale, Poste) : Tract du Front Syndical de Classe

Travailleurs du public et du privé :

- pour la défense des services publics et de la protection sociale
- pour la défense de l'emploi et le « Produire en France »
- pour l'augmentation des salaires

Tous ensemble en même temps !

La situation est grave pour les travailleurs qui souffrent tous ensemble de la casse anti-sociale orchestrée par le MEDEF, le gouvernement et l'UE : délocalisations industrielles, licenciements et chômage de masse, intensification et pénibilité du travail, casse des services publics désossés et privatisés, remise en cause de la protection sociale et du salaire socialisé (sécu, retraites)…

Dans ce contexte, la question des services publics est particulièrement importante. La défense des emplois et du statut de la fonction publique (attaqué de multiples manières, RGPP, loi mobilité, nouveau régime indemnitaire, etc.) intéresse tous les citoyens et l’avenir de la démocratie. En effet, en période de crise notamment, le secteur public est un des modes de redistribution des richesses les plus efficaces. Or, le MEDEF et le gouvernement, arc-boutés sur les directives européennes de « libéralisation », veulent :

réduire la fonction publique autour de quelques fonctions régaliennes de décision et de contrôle,

démanteler les services publics, en les confiant à des agences ou au secteur privé,

instaurer dans les services publics une logique marchande, concurrentielle, rompant avec les grands principes d’égalité, de continuité et de neutralité.

Pour cela, la casse du statut de la fonction publique de 1946 (précisé en 1983) est nécessaire afin de supprimer les principes qui gouvernent l’emploi du fonctionnaire, comme par exemple la séparation du grade et de l’emploi et la logique de carrière, garantes de l’indépendance et de la neutralité des fonctionnaires. Des services publics livrés au privé ou à la logique marchande, des administrations réduites à de petits états-majors obéissants, tout cela suppose d’en finir avec le statut général des fonctionnaires élaboré par les résistants à la Libération, afin de substituer au fonctionnaire impliqué dans le développement du service public un employé contraint par les ordres de son employeur.

Défendre les services publics n'est pas du corporatisme mais une position de sauvegarde des intérêts des personnels comme de l’immense majorité de la population ; c’est une position de classe contre l’exploitation capitaliste. Public/privé, les travailleurs sont affrontés au même pouvoir du capital et c’est tous ensemble en même temps à partir des luttes à la base qu’ils pourront vraiment le faire reculer et imposer la satisfaction de leurs revendications.

Pendant ce temps, Chérèque, qui donne le tempo du syndicalisme rassemblé au sommet et travaille ouvertement pour le Medef et le gouvernement, se demande : « Une grève générale ... contre quoi ? On ne va pas faire grève contre la crise. Qu'est-ce qui va unir tous les salariés ? ».

Il faut remettre en cause les directions syndicales qui ont déserté le combat de classe et sont devenues des « partenaires sociaux » du capital. Il faut dans le même temps mettre toutes nos forces dans la construction, à partir des luttes à la base, de l'unité dans l'action.

Cela suppose d'élaborer une plateforme fédératrice reprenant les revendications qui s'expriment dans les luttes depuis des mois : pour la défense de l'emploi et le « Produire en France », pour la défense des services publics et de la protection sociale, pour l'augmentation des salaires.
Cela s’appelle la lutte de classe et c’est en la menant sans illusion sur le « dialogue entre partenaires sociaux » que les travailleurs de France guidés notamment par une CGT de classe et de masse ont su remporter d’importantes victoires. En 1936, en 1945 ou en 1968.


Prochaines réunions FSC (crise, lutte des classes, congrès syndicaux CGT et FSU) :
A Bagneux (92) le 28 novembre, à Nantes (44) le 3 décembre, à Marseille (13) le 5 décembre

Egalement sur le site du FSC :
- Intervention de Jacky OMER, responsable national du FSC
- APRES LA MANIF' INTERPRO le 19 NOVEMBRE à St JEAN de MAURIENNE (Savoie)
- 49ème congrès CGT : position du SGPEN-AC-CGT sur le texte d’orientation
- Fédération Syndicale Mondiale : démarrage de la première Conférence Syndicale Internationale de la jeunesse à Lima - Pérou

Grippe A

Coucou tout le monde, juste une info qui pourra en intéresser certains : Comme vous le savez, je vois des médecins à longueur de journées.... Et ils sont tous d'accord pour refuser le vaccin contre la grippe A. Hier soir encore ils étaient en réunion avec un pneumologue et ils s'accordent tous à dire qu'il ne faut pas se faire vacciner ! Le vaccin est un vaccin "vivant", et pour le booster un peu, les labos ont mis du mercure à fortes doses. Il n'y a aucun recul sur les effets secondaires et indésirables à long et moyen terme de ce produit. Les labos ont même signé avec le gouvernement français une "décharge" qui les couvre totalement en cas de complications dues aux injections de ce vaccin. L'Etat ayant fait une grosse commande de ces vaccins, il faut maintenant les écouler..... (ça ne vous rappelle rien?). Les labos ont précisé qu'ils n'ont pas eu le temps de faire les études cliniques normalement obligatoires avant de mettre un médicament sur le marché, "mais il faut agir vite". Les conséquences peuvent être graves : Syndrome de Guillain-Barré (paralysie totale pouvant aller jusqu'à la mort, paralysie pas toujours réversible, séjours en réa ou soins intensifs avec ou sans séquelles neurologiques...).

L'Etat préconise une vaccination en priorité chez les personnels de santé, les femmes enceintes et les enfants !!! On imagine le carnage ! D'ailleurs, il est surprenant de voir que les médecins et les pharmaciens refusent catégoriquement de se faire vacciner. Et les médecins que j'ai vu cet aprèm refusent de vacciner les patients qui le leur demandent.......car ils ne veulent pas prendre le risque de porter de telles responsabilités pour le futur dont on ignore les suites... Voilà, je vous semble sans doute alarmiste... Mais je ne pouvais pas "ne pas partager" ces infos que je tiens de source "sûre" sur le terrain. Chacun est libre de ses choix selon ses convictions intimes