Ces images témoignent d'un fait : il s'est agi, dans la nuit du 5 au 6 août 2012, d'un assaut-surprise, et qui a réussi à prendre les FRCI de court.
Mais certaines questions demeurent. Quel était le nombre des assaillants pour qu'ils puissent pénétrer le camp et frapper aussi "facilement", prendre en otage un certain nombre d'éléments et défoncer la poudrière si l'on en croit le reporter de RFI ?
Un pays où trois attaques meurtrières viennent surprendre le régime en un week-end - juste avant la fête nationale - peut-il être considéré comme "sécurisé" ?
(Par Fourier Djassy)
je ne sais quoi penser mais je crois que cela est le fruit de nombreuses frustrations que le gouvernement entretient au sein de notre armée. j'en appelle le président Banny s'il veut vraiment sauver la côte d'ivoire qu'il regarde sans se dérober dans la direction des politiques et de l'armée ivoirienne qui est divisée c'est de là que viendra la véritable réconciliation si on la veut vraiment sinon la prochaine crise sera cinq fois plus grave que la précédente; nous somme tous fatigué de cela que notre pays retrouve son unité dans la vérité et la justice car les mêmes causes produisent les mêmes effets et plus grave que ça. Ivoiriens votre nation est en danger, le mal est à votre porte sauver la avant que la porte j'ouvre qu'a nul ne connais le jour ni l'heures.
RépondreSupprimer