Je ne garde de traces indélébiles dans ma mémoire de mes Noëls d’enfance, pas de souvenirs immarcescibles des convivialités noèlesques, ni des grandes tablées familiales, ni des agapes somptueuses séant à cette solennité. Est-ce dû au fait que j’ai dû grandir trop vite ou que le déracinement m’a confronté à une altérité déplaisante, tuant mes rêves d’enfant. Je ne saurai le dire, d’ailleurs je ne m’interroge ni ne cherche de réponses à cette question, toutefois en puisant dans ma conscience, de mes souvenances ce qui afflue, c’est une atmosphère, des odeurs, des humeurs, et des rêves.
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dimanche 24 décembre 2017
Un Noël du temps d’enfance
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mercredi 20 décembre 2017
A TI-RAOUL
Pierre Grivalliers, (surnommé Ti-Raoul) est décédé ce lundi 18 décembre, en fin d'après-midi. Il s’est éteint à son domicile de Sainte-Marie. Il avait 83 ans. Il emporte avec lui sa voix reconnaissable entre toutes, qu’il avait autant nasillarde qu’étrangement roucoulante. Nul ne pouvait rester insensible à son timbre quand il entonnait des chansons de sa composition. Des textes narrant un fait de société, une anecdote, un moment d’histoire. En bref, les faits et gestes de nos gens et de notre terroir.
Initié dès son enfance dans les swaré bèlè, dans les quartiers de sa ville natale, il apprend auprès des grands de l’époque : Esther Grivalliers, Clémence Sébarec, Stéphane Sébarec, Jéjé Galfétè, entre autres. Sa notoriété l’amène à intégrer le Ballet folklorique de Loulou Boislaville. Première tournée en France en 1952 pour Ti-Aoul, suivie d’une seconde l’année suivante avec le groupe de Raphaël Prospa.
Devenu peintre en bâtiment, Ti-Raoul reviendra de France en 1975. Il se consacre alors pleinement à son activité de chanteur de bèlè. Il subira comme d’autres la désaffection pour les musiques populaires rurales. Puis il bénéficiera du regain d’intérêt pour notre culture traditionnelle.
Au caractère bien trempé, ce petit homme d’apparence frêle était un grand artiste parfois incompris. Il a su forcer le respect et l’admiration au-delà de lawonn bèlè.
En restant fidèle à son éducation, à ses origines, à ses compatriotes, à son pays. Lonnè èk repspé, Misyé Ti Raoul.
( Audrey GOVINDIN de Martinique Première)
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mardi 19 décembre 2017
Le chanté Nwel une tradition qui perdure au-delà des mers
Marie Césaire |
Ce samedi 16 décembre 2017, la ville de Grigny (Essonne) organisait son chanté Nwèl, un des moments festifs du calendrier noélistique antillais, une date importante des festivités de fin d'année pour la communauté antillaise installée en France, renouant ainsi à Noël avec l'esprit de fête qui règne aux Antilles françaises.
La saison des chanté nwel débute initialement le premier dimanche après le 11 novembre et courant jusqu'à Noël, se terminant après la naissance de Jésus ; Toutefois en Martinique, d'aucuns commencent à organiser leur chanté nwel, dès le 3 novembre, ne laissant la période des morts se terminer. Suite
mardi 5 décembre 2017
La situation ce jour de la population de la République Bananière de Guadeloupe
- Se laver avec une bouteille d'eau et chier dans un contenant.
- se taper les embouteillages faute de système de transport.
- Admirer le magnifique décor qu'offrent les ordures et encombrants non collectés.
- Son système de santé est passé de gros bordel à toile de tente.
- Ses Macaques politiciens ont été traités de NEGRILLONS INCAPABLES par les Métros (BLANCS)
etc...
Quand le Peuple Guadeloupéen se révoltera même l'ONU n'osera s'en mêler.
E. Meyapin
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