vendredi 19 mai 2017

Le musée Dapper a fermé ses portes !


France: Le musée Dapper, dédié au patrimoine de l'art africain subsaharien, a fermé ses portes hier en raison de problèmes financiers.


La principale cause de ces difficultés tient aux charges générées par son lieu d'exposition ouvert en 2000 dans le XVIe arrondissement de Paris, et qui va être vendu.

"Le bâtiment est lourd à gérer. Nous n'avons aucune subvention publique, nous ne pouvions plus traîner ce boulet", explique la direction.

Le musée a également été confronté à la montée en puissance du Quai Branly, et plus généralement à la concurrence d'une offre culturelle particulièrement riche à Paris.

Depuis son ouverture, il avait présenté plus de 40 expositions, mais sa fréquentation était en baisse.

"On ne baisse par le rideau pour autant, précise-t-on à la direction. La fondation va continuer ses activités au Sénégal" où elle a organisé plusieurs expositions depuis 2012, notamment à Gorée, ainsi que dans les Caraïbes.

Présidée par Christiane Falgayrettes-Leveau, la fondation a été créée par son mari Michel Leveau, ingénieur passionné par l'Afrique.

Olfert Dapper, dont elle tire son nom, était un Néerlandais auteur en 1688 d'une Description de l'Afrique sans jamais avoir visité ce continent.


Martiniquais :Nous sommes un peuple de controverse...



Nous refusons d'être ministre, mais nous allons à la députation. 

On ne veut pas un poste à responsabilité qui pourrait donner de belles orientations en faveur de la Martinique, pour accepter de juste proposer des lois ou des amendements qui n'apportent pas toujours grand chose à la Martinique. 

Mener une politique globale dans un ministère des Outre-mer avec l'aval certes du 1er ministre est quand même mieux qu'aller siéger (quand on peut) pour voter un ensemble de lois qui ne concernent pas toujours spécifiquement la Martinique. 

Entre Teddy Rinner, Lilian Thuram, Laura Flessel et tous les ministres Guadeloupéens potentiels ou passés nous sommes dans une suffisance caractérisée en Martinique.

Dans une posture de rébellion face à un État que l'on rejette mais dont on accepte son école, ses lois, son mode de vie, sa nationalité.....etc 

Soit on prend une indépendance, soit on décide alors d'accepter notre histoire et notre citoyenneté française et de lutter pour une meilleure émancipation de la Martinique. 

Ici on dit souvent: 
Nèg jalou
Nèg méchan
Nèg kont nèg 

Mais en même temps nou pa lé bétché, blanc, miniss etc etc etc 

Donc on aime gueuler mais en même temps on ne veut rien !!

Du coup on stagne et la Martinique n'avance pas !!!

Regardons les problématiques d'un simple transport en site propre (TCSP).

Le seul gros chantier majeur des 5 dernières années est au point mort !!!

Alors bon.....si on veut rester dans une posture de défiance vis à vis d'un État qui organise finalement notre quotidien ...nous sommes ridicules.

Il est temps d'enlever ces foutus "chaines mentales" ...
Décidons notre avenir :
1-Indépendance 
Ou
2-Acceptons notre statut actuel

On ne peut pas vouloir les deux, nou pa ka vansé !!!

Mick Let