dimanche 22 août 2021

LETTRE OUVERTE DU MIR

 Martinique : Quand Garcin Malsa, le Président du Mouvement International pour les Réparations liées à l’esclavage (MIR) accuse Emmanuel Macron et son gouvernement d’avoir contribué à répandre le Covid au sein de la population martiniquaise via des milliers de touristes déversés sur l’île pour pouvoir ensuite justifier de la nécessité de vacciner les habitants.

Dans une lettre ouverte adressée le 16 août dernier au Chef de l’Etat, avec copie au Premier ministre et au ministre de la Santé, Garcin Malsa n’y va pas par quatre chemins.

Il accuse Emmanuel Macron de faire preuve de « mépris » à l’égard des Martiniquais, de les avoir confinés pour les « punir » de continuer à refuser le vaccin anti-Covid.

Il prévient que les réfractaires ne céderont pas.

« C’est pourquoi, Monsieur le Président nous vous annonçons que nous ne baisserons jamais les bras dans cette lutte que nous avons engagée pour ne pas être détruits par vos injections mortelles et mortifères », écrit-il.
« Nous avons bien compris qu’il y va de notre survie. L’esclavage ne nous a pas tués. La colonisation ne nous a pas tués. L’empoisonnement, la déportation, n’ont pas eu raison de nous, Votre vaccin sera impuissant. Nous savons qui nous sommes », conclut-il.

Alors que plus de 63 % de la population française est vaccinée contre le coronavirus, des disparités s’observent entre régions, en particulier avec les territoires ultramarins dont la Martinique où les couvertures vaccinales n’atteignent, parfois, pas plus de 20 %.

Voici la copie intégrale de la lettre ouverte de Garcin Malsa au President de la République :
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Monsieur le Président,
AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
Depuis près d’une semaine la Martinique est au cœur des inquiétudes de votre gouvernement au motif que la population ne veut pas se faire vacciner alors que la contamination par le variant du virus Covid19 augmente dans des proportions inquiétantes.
Vous avez même cru devoir envoyer dans mon pays des centaines de soignants ainsi que des militaires pour venir au secours des martiniquais.
Permettez-moi de douter fortement de la véracité de votre inquiétude au vu des mesures que votre gouvernement via son représentant en Martinique a prises et que nous tenons à dénoncer fermement.
En effet, alors que le fameux variant fait rage chez vous, vous avez permis l’arrivée journalière chez nous d’une dizaine de gros porteurs bondés de touristes de sorte que leur nombre a largement dépassé celui des habitants de l’ile.
Ces touristes n’ont fait l’objet d’aucun contrôle à leur arrivée à l’aéroport Aimé Césaire et n’ont pas été placés en quarantaine de sorte qu’ils ont circulé librement et ont contribué à contaminer la population.
Votre gouvernement est resté sourd aux cris d’alertes lancés par les associations qui dénonçaient cette situation.
Et il est arrivé ce qu’il devait arriver et que vous aviez sans doute programmé : une contamination massive de la population martiniquaise.
Vos représentants auraient pu limiter les conséquences de cette contamination en prodiguant des soins aux personnes atteintes du Covid 19. Mais au contraire ils ont refusé tout protocole de soins à ces malades à qui ils n’ont donné que du doliprane attendant de les transférer soit en réanimation, soit à la morgue.
Le personnel soignant de la Martinique dont personne ne peut nier le dévouement et la compétence s’est trouvé confronté à une situation particulièrement difficile puisqu’il a été mis dans l’incapacité de prodiguer des soins aux malades alors qu’ils exercent souvent en sous-effectif dans des conditions déplorables, dans un hôpital particulièrement sinistré à tout point de vue.
Comment comprendre que le CHU de Martinique n’ait que dix-neuf lits de réanimation pour une population d’environ 380 000 habitant alors que la Martinique est soumise à des risques naturels majeurs qui peuvent survenir à n’importe quel moment (tremblement de terre, ouragans,
Comment comprendre que l’Etat n’a toujours entrepris aucune démarche sérieuse pour régler le problème de la prise en charge des effets délétères du chlordécone qui fait de plus en plus de morts de cancers en Martinique, sans compter les troubles neurologiques (maladie de parkinson, d’Alzheimer et autres directement liées à l’ingestion de cette molécule).
Pensez-vous sérieusement que la misérable somme de 100 000 euros que vous avez récemment accordée pour la mise en œuvre d’un énième plan chlordécone pour les deux îles Guadeloupe Martinique puisse vraiment permettre une prise en charge de ce grave problème quand vous accorder des milliards à des entreprises qui n’en ont pas besoin.
Quel mépris envers notre peuple !
Mais vos services ont cru devoir aller plus loin en exerçant une sorte de chantage teintée de menace sur la population martiniquaise qui refuse de prendre la thérapie génique, au stade expérimental, que vous appelez vaccin, et dont les effets secondaires délétères sont largement connus de tout un chacun.
En Martinique l’information circule très vite et nombreux sont les pères et mères de familles qui sont venus désespérés voir les associations tel le MIR pour parler du décès ou des maladies invalidantes de leur parents suite à la prise d’un de ces « vaccins ».
Constatant que le peuple martiniquais persistait dans son refus de se faire injecter ces vaccins, votre représentant a décidé de nous punir carrément en décidant de nous confiner, nous interdisant l’accès à tous les lieux de loisirs (restaurants, cinémas hôtels etc...) qui ont été fermés. Votre préfet nous a même interdit l’accès à la mer.
Dernier acte destiné à parfaire votre démarche d’humiliation : l’envoi de soignants et de pompiers français chez nous pour soi-disant nous venir en aide alors que vous n’avez pas daigné faire appel à la réserve de soignants à la retraite et en congé dont nous disposons et qui étaient prêts à s’investir.
Dans le même temps, vous avez pris soin d’envoyer chez nous un contingent de militaires, sans justifier d’une telle démarche au demeurant totalement inexplicable. Que viennent faire ces militaires de la gendarmerie dans un pays dont, selon vous la population, serait gravement malade victime d’un terrible désastre sanitaire ?
Que cherchez-vous ? Croyez-vous que nous aurons peur de vos barbouzes et que nous céderons en nous faisant injecter votre pseudo vaccin ?
Pourquoi nous envoyer vos forces armées alors que selon vos scientifiques, œuvrant sur les grands médias télévisuels, estiment que nous ne sommes que des pauvres illettrés alcooliques accros au vaudou ou aux injonctions de la vierge Marie, tant le racisme est institutionnel dans votre pays des droits de l’homme blanc.
Nous n’entendons pas justifier auprès de vous de notre humanité que vos journalistes et autres chroniqueurs continuent de nier quotidiennement sur tous vos médias.
Comme ces messieurs et dames le laissent entendre et l’affirment parfois, sans y voir le moindre racisme, « quand on est noir on assume ». Et si on proteste c’est qu’on fait du racisme anti blanc.
Nous sommes les survivants d’un peuple qui a connu des siècles d’esclavage de colonisation de brimades en tous genres.
Nous avons surmonté ces situations atroces parce que nous n’avons jamais cessé d’être ce que nous étions avant d’être capturés et réduits en esclavage, des guerrier (re)s, des hommes et femmes libres fort(e)s et puissant(e)s.
Notre dignité humaine nous la portons en nous et n’avons pas besoin de votre reconnaissance pour être libres et conséquents avec nous-mêmes.
Votre vaste entreprise de créolisation tendant à nous faire accepter d’être ce que vous voulez que nous soyons et non plus ce que nous sommes réellement a échoué.
Notre humanité est restée et restera intacte et c’est sans haine et sans la moindre rancœur que nous exigions que vous répariez tous les torts causés à notre peuple et dont les conséquences sont bien présentes.
Il n’est plus temps de tenter de nous gruger.
Nous savons qui nous sommes.
Nous savons qui vous êtes et ce dont vous êtes capables de faire non seulement à nous mais à l’humanité toute entière.
C’est pourquoi, Monsieur le Président nous vous annonçons que nous ne baisserons jamais les bras dans cette lutte que nous avons engagée pour ne pas être détruits par vos injections mortelles et mortifères.
Nous avons bien compris qu’il y va de notre survie.
L’esclavage ne nous a pas tués,
La colonisation ne nous a pas tués,
L’empoisonnement, la déportation, n’ont pas eu raison de nous, Votre vaccin sera impuissant,
Nous savons qui nous sommes.
Recevez Monsieur le Président nos respectueuses salutations.

Garcin MALSA Président du Mouvement
International pour les Réparations
Copie Á MONSIEUR LE PREMIER MINISTRE AU MINISTRE DE LA SANTÉ

C'EST FACTUEL... C'EST SIMPLEMENT FACTUEL



Cette petite phrase lâchée par Valérie Denux lors du dernier point Covid tenu a l'aéroport, n'est peut-être pas si innocente que ça...
L'histoire se passe à la prison de Baie-Mahault. Un détenu récemment vacciné ne comprenant pas qu'il soit contaminé pète un câble :
Le détenu : comment ça je suis positif CoVid ? On m'a harcelé pour me faire vacciner en me promettant d'être protégé ! Vous vous foutez de moi ou quoi ?
L'agent pénitentiaire : non vous n'êtes pas vacciné monsieur !
Le détenu : an ka di-w an vaksiné fwè la ! Ki jan ou ka di mwen non ?
L'agent pénitentiaire : la base de données m'indique le contraire. Je n'ai pas trace de votre vaccination CoVid.
Le détenu (brandissant le document qui lui a été remis le jour de son injection) : mi pwèv la
L'agent pénitentiaire (confus) : je ne comprends rien
Il a été rapporté à Sentinelles Guadeloupe d'autres cas similaires de personnes vaccinées qui une fois contaminées par la CoVid ne se retrouvaient plus dans la base de données VAC-SI.
Erreurs informatiques ou disparitions volontaires ? En tout cas, en n'apparaissant pas dans VAC-SI, cela devient "factuel... Simplement factuel" qu'ils ne sont pas vaccinés... Et contaminés, surtout s'ils sont morts.
Nous réclamons à nouveau et pour la énième fois, un contrôle citoyen et politique indépendant des données de l'ARS, et de la gestion CoVid.
Quitte à prêcher dans le désert, quand arrivera l'heure de rendre des comptes, l'histoire devra retenir que nous avions fait notre devoir de citoyens Sentinelles.

Éric Coriolan
Sentinelles Guadeloupe

samedi 21 août 2021

Pour qui il se prend le Dr Raymond Helenon qui, a la tête de l’ordre dés médecins, donne des leçons à la presse ?



Il se prend pour qui, il faudrait que les médias lui demandent son autorisation et qu’il leur fasse le conducteur des émissions ?
L’ordre des médecins n’a qu’à s’occuper de la déontologie des médecins et de la sécurité des patients .
Il y a quelques années un médecin a été jugé et condamné devant la Cour d’assises pour plusieurs viols commis sur des patientes, le Dr Hélénon n’a eu rien à dire ou écrire pour s’indigner ?
On n’a pas entendu l’ordre des médecins !
Un médecin généraliste a été jugé et condamné pour avoir abîmé des patientes en pratiquant de la chirurgie esthétique dans son cabinet, on n’a entendu ce Dr Raymond Helenon, ni l’Ordre des médecins !
D’autres faits sont connus, des enfants ont parlé…
J’ai été témoin de l’émotion d’une jeune fille qui voyant dans une station d’essence un médecin, est allée lui dire ses quatre vérités. Quelque années plus tôt alors qu’elle était plus jeune, en consultation, il l’avait touchée, où il ne fallait pas.
La journaliste que je suis qui a couvert les affaires judiciaire pendant plus d’une vingtaine d’année, a eu à entendre bien des témoignages !
Je suis prête a rencontrer ce monsieur la censure pour lui exposer des faits !
Si ce médecin n’a rien à faire, qu’il aille aider à l’hôpital !
Ça suffit, cette police de la pensée qui s’étend, menace !

Pawol Freepawol

COVID : GUADELOUPE, PAS DE LITS, PAS D'ECMO, PAS D'OXYGÈNE, PAS D’IVERMECTINE... MAIS UNE MORGUE.



La Une du journal Libération de ce vendredi 20 août 2021, est le nouveau crachat jeté à la face de la Guadeloupe et des Antilles en général.
En choisissant d’afficher en première de couverture la morgue du CHU de Pointe-à-Pitre, le journal Libération s’inscrit dans la ligne éditoriale choisie par les autorités locales en charge de la gestion de la crise sanitaire.
Une ligne éditoriale soigneusement préparée et copieusement propagandée depuis 3 mois à grands renforts de communication avec un objectif clair : augmenter par la peur et le catastrophisme, la vaccination Covid locale.
Depuis le mois de juin, des prédicateurs de la croisée vaccinale, missionnés par l’ARS Guadeloupe, dressaient comme une prémonition, le sombre tableau d’une Guadeloupe non vaccinée qui serait frappée par une 4ème vague meurtrière. Certains annonçaient même le défilé de cadavres transportés dans des « sacs noirs ».
Beaucoup de propagande de peur mais peu d’anticipation effective de l’impact de la vague, annoncée pourtant si meurtrière.
Beaucoup de propagande de peur mais un CHU dans l’impréparation la plus absolue au moment de l’impact :
▪︎ Stock et équipement d’oxygène manquant (finalement partis de l’hexagone le 15 août)
▪︎ Validations par la direction de départs en congés de plusieurs cadres de santé malgré l'imminence d'une vague annoncée "inédite".
▪︎ Non préparation à l’utilisation des 2 ECMO (ExtraCorporeal Membrane Oxygenation) disponibles en Guadeloupe, mais pour lesquels personne n’a été formé à l’utilisation ou rapatrié en prévision de la 4ème vague. En France hexagonale, lors des vagues aiguës, l’analyse des résultats à 90 jours a montré une survie de 46% pour des patients les plus graves dont la survie prévisible sans ECMO était quasi nulle.
Beaucoup de propagande de peur mais une Agence Régionale de Santé qui interdit la délivrance en pharmacie d’Ivermectine pourtant prescrite, à des patients en début de symptômes par certains médecins cherchant à soigner et sauver. Faire leur métier en fait... Ivermectine dont les bons résultats annoncés dans plusieurs pays du monde sont frénétiquement « fact-checkés » par l’armée de chasseurs de fake-news, jusqu'en Guadeloupe, au service de la propagande vaccinale gouvernementale.
Pourtant si l’on s’en réfère au discours martial du président Français du 16 mars 2020, en temps de « guerre », la priorité eut été de sauver des vies. Nous assistons au contraire en Guadeloupe. De nombreux Guadeloupéens qui auraient pu survivre sont parti parce que l’incompétence, le respect de certaines règles et procédures absurdes, ont eu raison de la condition d’Être Humain. Insupportable régression…
C’est dans ce contexte que l’on continu de culpabiliser les populations locales pour les contraindre à la vaccination de masse, pourtant en échec en Islande (vacciné à 71.52%), à Malte (vacciné à 82.49%), en Israël (vacciné à 62.81%), au Royaume-Uni (vacciné à 62.02%). Sans compter les pays quasiment sans épidémie et pourtant quasiment sans vaccins comme La Nouvelle-Zélande (vaccinée à 19.79%), Taïwan (vacciné à 3.13%), Vietnam (vacciné à 1.61%), Haïti (vacciné à 0%), Madagascar (vacciné à 0%), Inde (vacciné à 9.09%), Algérie (vacciné à 1,65%), Afghanistan (vacciné à 0%)
C’est dans ce contexte que Libération publie aujourd’hui son torchon propagandiste funeste sans le moindre respect des dépouilles des Guadeloupéens sacrifiés, rejoignant par cet acte méprisable, la cohorte de médias et personnalités locales, lancée dans une guerre contre la population pour la satisfaction de la directrice de l’ARS en retard d’objectifs vaccinaux. Rien à voir avec la santé des Guadeloupéens qui n’est qu’une variable d’ajustement des carrières des uns et des autres.
Bref, le seul enseignement de cette article odieux vraisemblablement commandée par la propagande gouvernementale pour placer la Guadeloupe en tête de gondole et tenter de vider le stock de vaccins en rayons, c’est qu’au CHU de Pointe-à-Pitre il y a une morgue…

Eric Coriolan
Sentinelles Guadeloupe