Monsieur le préfet,
Monsieur le premier ministre,
Monsieur le président de la République,
La mort prématurée de Jacob Desvarieux des suites du covid nous enseigne une fois de plus que le vaccin que vous souhaitez nous imposer par tous les moyens ne protège pas, ne sauve pas et pourrait même dans certains cas aggraver la santé des personnes atteintes par le covid.
La mort de Jacob Desvarieux illustre bien qu'être vacciné ne garantit pas d'une fin tragique après avoir été contaminé.
Qui plus est, si la fonction d'un vaccin est une substance pathogène qui, inoculée à un individu, lui confère l'immunité contre une maladie. Il serait urgent que vous nous expliquiez les raisons réelles de votre acharnement et celles du gouvernement à vouloir nous injecter à tout prix une substance qui ne confère aucunement d'immunité contre le covid !
Car si ce vaccin remplissait sa fonction principale s'agissant de l'immunité recherchée, nous ne pleurions tous ses morts dont le chiffre ne cesse de progresser, telle une hécatombe malgré la diffusion à grande échelle de cette substance qui est loin de posséder les caractéristiques intrinsèques d'un vaccin.
Nous ne prétendons pas être des experts, pas plus que vous, ni tous ces brillants scientifiques qui ne sont parvenus à aucun consensus sur l'intérêt de la vaccination.
En dépit de toutes ces raisons qui appellent raisonnablement à la prudence, vous multiplier jours après jours les mesures restrictives, privatives et punitives pour soumettre le peuple au diktat des laboratoires pharmaceutiques dont le seul objectif est d'engranger des milliards.
Monsieur le représentant de l'État dans le département, nous vous remercions de vous appliquer avec tant de détermination à vouloir prendre soin de notre santé, cela est louable mais lorsque le remède préconisé et de plus en plus imposé semble pire que la maladie elle-même, la constitution nous garantit de la liberté de disposer de nous-mêmes, à moins que la constitution française n'ait été reformée récemment sans qu'on ne le sache !
En outre, nous respectons votre liberté, en retour nous vous demandons de respecter la nôtre d'accepter ou de refuser l'injection d'une substance qui n'a pas encore prouvé à ce jour son intérêt scientifique.
Sincères salutations.
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