lundi 8 mai 2023



 Martiniquaise, femme, fille et mère...

Sans brandir drapeau, ni blanc ni aux couleurs qui en "vaillent les peines", descendante de ceux et celles qui m'ont donné souffle de vie sur cette île, j 'ouvre bouche pour que paroles s'envolent comme pollen au vent et plantent ce qu'elles pourront à l'entour de la terre.
J'ouvre lèvres pour dire que je comprends et ressens comme indispensable un assainissement relationnel sociétal ... Ici ou ailleurs. Comme nombre d'entre nous.
J'y aspire comme tout être inspure et expire... aspire à une révolution humaine indispensable ...
Il ne s'agirait pas d'une démarche "ardoise-effaceur".
C'est bien plus délicat que cela !
Il s'agit d' un geste inédit ... attendu ou inattendu...
Une pulsion profonde d'en-vie.
Une démarche profondément créative ou re-créative, régénérante, qui s'éleverait, lasse
de "taires" toxiques
au sein de familles aux sangs entremêlés plus ou moins harmonieusement.
Il s'agirait d'un formidable "lasotè" pour "fouiller-assainir-planter" sur cette île nôtre, et qu'il émane de la démarche quelque chose de plus digeste pour "l'unis-son".
Car l'histoire - et les humains qui la font - sêment parfois des fruits indigestes.
Pour cela pourquoi ne pas s'asseoir sur les bois dressés de la yole-péyi pour qu'elle s'élève au dessus des vagues et avance sans prendre l'eau, en visant l'horizon du "yonn a lot" espéré.
Ce serait comme une poussée irrésistible en "avents", une pulsion montée de nos tréfonds pour que justice soit enfin faite.
Non. Personne n'est obligé d'accepter les avantages acquis d'un système inique, d'un patrimoine entrelacé des fils inextricables du vermicelle-diable et des rhizomes d'attitudes dominatrices et condescendantes.
Les descendants de "profiteurs de guerre" peuvent aspirer à entreprendre de se délester du poids de "l'injustement acquis".
Démarche libératrice souhaitable qui leur ferait leur plus grand bien s'ils souhaitent un "respirer" librement dans un monde débarrassés des sables venant de régions désertiques où les coeurs ne poussent aucun espoir d'avenir serein.
Que les uns jouissent de moins de superflu pour que d'autres aient un quotidien décent.
Est-ce inenvisageable ? Est-ce trop exiger ?
" Pani balans pou pézé lanmori, pani balans pou pézé makriyo"...
Es i ni an balans pou pézé la "chair humaine" ?
Rééquilibrer la balance pour peser la "chair humaine"c'est ce dont il s'agit, non ?.
Avant de fumer "le calumet d'une paix mémorielle", avant de reposer en paix dans la terre qui nous a vus naître il semble nécessaire de poser quelques étapes essentielles.
Passer par la "case" des "gestes de bonne foi", paroles de reconnaissance de ce qui a été et de ce qui demeure comme séquelles, de délestage ou dépassements d'égos... actes d'entraide en terre de 'jardins" à partager .
D'aucuns diront "Je ne suis pas responsable de ce qui a été posé par le passé !"
Le chemin de l'éveil des consciences est plus ou moins long et il faudra bien commencer...en attendant qu'ils s'éveillent et viennent rejoindre les coeurs vaillants des premiers lancés, les coeurs qui ont compris que l'argile des jours troubles repose le jour où l'eau tumul-tueuse s'apaise.
Effacer les rancoeurs les plus enracinées passe par là ;
Notre créativité multidimensionnelle....
Un art de vivre à nos images, aux images qui nous parlent.
Un art de nous Aimer très fort, tout simplement.
Un art d'ouvrir les bras de nos rivières et de l⁷es préserver des poisons émotionnels.
Un art de choyer les mangroves de notre île, becs et ongles, tels des coqs au combat.
Il ne me semble pas juste de demander aux descendants des esclavagisés, dont l'ADN à été marqué par maintes mal-menances de l'état et des colonisateurs, de prendre l'initiative d'effacer d'eux ce qui a été. D'un coup de baguette magique, mais il faut bien commencer quelque part, par un bout ou l'autre...
Un lot de souffrances se sont déposées de génération en génération et de nouvelle souffrances (dont l'empoisonnement au chlordécone...) se sont ajoutées.
Refuser tout acte touchant à l'intégrité des nôtres, s'opposer à ce que "l'humanité" soit bafouée à nouveau, s'allier dans les combats de réparation,
défiler ensemble lors des dates clefs marquant notre histoire, ce sont là des actes concrets, clairement identifiables par tous. Des actes à poser, qui aident à adoucir les angles aigus de notre histoire. Ce sont des actes qui démontrent nos volontés d'être présents les uns aux autres et prêts à discuter dans le respect mutuel de nos projets d'avenir ! Prêts à essuyer les oppositions, les résistances à cette demande de pardon clairement formulée...
La confiance à retrouver est à ce prix.
Tomber, se relever, supporter crachats, ne rien lâcher sur ce chemin de croix pour les uns, surmonter le poids de son karma pour les autres.
Rien de simple.
De la sueur.
De la conviction dans la justesse de la victoire à venir. Pour la libération des chaînes de nos esprits.
Des actes plus forts sont à poser, qui affirmeraient la volonté de s'alléger des avantages hérités de ces actes d'injustice, de s'alléger des bénéfices pesants dont l'histoire les a arbitrairement gratifié.
Un pays est à construire - au dépassement des brisants de l'histoire - un pays auto-suffisant alimentairement.
Un petit pays fier de sa victoire contre l' inéluctable pourrissement et la rouille paralysante.
La reconsidération de l'utilisation des terres serait un acte fondateur.
Le bétonnement des terres est de l'auto-destruction.
Nul besoin de maîtres à penser, de chef de parti, examiner nos consciences avec sincérité.
Notre survie à tous passe principalement par cette terre nourricière, notre terre à tous et non clôturée et détenue par quelques privilégiés.
La terre, l'eau, l'accès à la mer devraient être propriété de la collectivité.
La propriété privée des terres cultivables est
inique. Produire les fruits et légumes à un prix décent et surtout accessible aux plus démunis est une priorité, pas de la charité.
Regardons tout au fond de nous. Ce qui a été posé par un roi, par l'Etat, par le passé, n'est pas toujours juste. Réfléchir aux changement souhaitables pour rééquilibrer la balance de la justice n'est pas de l'angélisme...
C'est être lucide.
Tout chemin commence par une trace !
La trace à suivre est spirituelle, celle initiée par Lakou Zémi mais bien d'autres....
La trace naît en chacun de nous, en dialogue sincère avec nous-mêmes. Jocelyne Mouriesse

vendredi 10 septembre 2021

Martinique la dernière, médias aux ordres




Quand il s'agit de manipuler l'information en faisant en sorte qu'il n'y ait aucune contradiction, c'est vous qui devriez avoir honte.

Quand vous faussez les chiffres du nombres de morts au Robert, de 1 mort, vous passez à 10, c'est vous qui devriez avoir honte.
Quand vous censurez les militants pour raconter les choses comme cela vous arrange afin de nous faire haïr par la population donc diviser pour mieux régner, c'est vous qui devriez avoir honte.
Quand nos propres compatriotes au sein de Martinique la dernière aident des criminels à mentir sur les chiffres , à tromper le peuple, à discréditer ceux qui dénoncent, à multiplier les fakes news, à ignorer les informations sur les effets secondaires de l'injection, à faire croire que des martiniquais meurent du covid alors qu'en vérité ils meurent parce qu'on leur refuse les soins, vous vous rendez complices de crimes contre l'humanité !!!
Moi, Berton Anicia , j'assume pleinement d'avoir été présente à l'aéroport, j'assume pleinement d'avoir dit ses 4 vérités à ces gens qu'on appelle "soignants" qui viennent en Martinique, pour faire ce que nos compatriotes ne veulent pas faire, LAISSER MOURIR LEUR PEUPLE !!!
Ceux qui croient au mythe du sauveur blanc, grand bien leur fasse, votre naïveté vous perdra ou votre complicité vous attirera la foudre.
En France, il y a des départements qui sont beaucoup plus impactés par le covid que nous, il y a des hôpitaux qui réclament des soignants pourtant, c'est chez nous qu'ils les envoient donc on aurait presque envie de dire, "ENFIN, LA FRANCE NOUS PREND EN CONSIDÉRATION ", SAUF QUE :
Que viennent faire ces soignants chez nous ???? À part fermer les yeux sur le fait qu'on laisse mourir les malades au lieu de leur donner les traitements précoces...
Combien ont d'ailleurs déjà dénoncé le manque de traitement précoce ???
Combien comme l'ont dénoncé des médecins sur le France-Antilles, ont signalé l'euthanasie pratiquée sur notre population au CHU ???
1: choisir qui doit vivre ou mourir.
2: à partir de quel âge.
3: donner de la morphine ou du Doliprane aux gens atteints du covid.
4: les DÉBRANCHER sans que cela ne leur pose aucune problème de conscience.
5: ceux qui filment nos compatriotes au CHU, dans les couloirs presque ou voir nus.
6: Ceux qui font des communiqués alors qu'on interdit à nos propres compatriotes soignants de divulguer ce qu'il se passe dans nos hôpitaux.
7: ceux qui déclarent nos familles mortes du covid alors que certains meurent par faute de soins, à cause de l'injection ou d'autres pathologies.
8: ceux qui se promènent sur nos plages, pendant que le peuple est confiné et le pays en état d'urgence.
9: Ceux qui ramènent d'autres variants, Puisque injectés, Sachant que se sont les injectés qui donnent les variants donc contaminent les malades hospitalisés pour d'autres pathologies.
10: Ceux qui gardent le silence face à cette politique de punition parce que la majorité du peuple désobéit à l'obligation vaccinale. Etc..... Et tout ceux-ci très bien payés alors que leur rôle premier c'est de sauver des vies et non de laisser mourir....
CE QUE DES PERSONNELS SOIGNANTS MARTINIQUAIS , N'AURAIENT PAS LE COEUR DE FAIRE, parce qu'au CHU et notamment en Martinique, tout le monde connaît tout le monde, nous avons tous de la famille, des amis, des voisins, des connaissances, au sein de cet hôpital donc, qui mieux que ceux qui débarquent chez nous, n'ont aucun attache au pays, peuvent mettre en pratique ce que leur demande ceux qui sont au pouvoir ???
Il y a bien une raison pour laquelle ils choisissent des soignants d'ailleurs que de faire appel à des réservistes locaux, qui se sont proposés, il y a bien une raison pour ne pas prendre nos soignants antillais qui ont étudié en France et se sont proposés, parce qu'ils souhaitaient rentrer pour être au chevet de leur Population, il y avait bien une raison de choisir une ethnie, plutôt qu'une autre, il avait bien une raison que cela soit d'autres que les nôtres qui viennent chez nous, communiquent, sur les réseaux, dans les médias de France alors que chez eux, différents hôpitaux sont plus saturés que nous, qu'ils ont plus de lits mais bon, nous Martiniquais, sommes accueillants (n'est-ce pas comme cela que l'esclavage a commencé ??), on ne voit le mal nulle part sauf quand ce sont nos propres compatriotes qui parlent, qui agissent, qui dénoncent, qui essaient malgré tout, malgré vos mépris, malgré votre naïveté, malgré votre méchanceté, malgré votre je m'enfoutisme, malgré le fait que vous ne vous aimez pas, vous n'aimez pas votre peuple, qui essaie de vous ouvrir les yeux.
Je ne cherche pas votre amour, ni votre accord s'agissant de mes actions et celles d'autres militants, je sais pertinemment qu'on ne fera jamais l'unanimité, je sais pertinemment que la forme sera toujours plus importante que le fond, même si des jours plus tard, des semaines plus tard, des mois plus tard, des années plus tard, vous constaterez que nous avions raison, comme en février-mars 2020, quand des militants martiniquais sonnaient l'alerte sur le fait que des bateaux de croisière, des avions bourrés de touristes, venaient nous contaminer au pays, si zòt té kouté nou, nou pa tékay adan sitiasyon tala jòdia mais, combien le reconnaîtront ??? Non, on continue la critique facile, kon Di bwana, pli ta pli triss.
Pour finir, je tenais à rectifier un énième mensonge des médias locaux, NON , nous ne savions pas que ces gens allaient débarquer hier, jeudi 09 septembre 2021 , nous pensions qu'ils étaient de simples touristes ( état d'urgence ???), C'est un membre de l'ARS qui nous a donné l'information, pensant nous calmer. C'est pour vous prouvez encore que les ancêtres nous guident, Combien de chance avions-nous de mener une action le jour même de leur débarquement au pays, libre à vous de ne pas y croire mais force est de constater que la coïncidence n'existe pas et qu'une force suprême nous guident pour mener cette lutte pour la liberté...
J'ai pour habitude de dire : "si nèg mawon té kouté nèg dosil, nou tékay èsklav toujou" donc ce que vous pensez de moi, de nous, M'IMPORTE PEU, MA CONSCIENCE EST TRANQUILLE CAR AVANT TOUT, JE PENSE À NOS COMPATRIOTES MORTS POUR RIEN ET JE DÉNONCERAIS QUICONQUE, SOIGNANTS OU PAS, UTILISÉS CONTRE MON PEUPLE, J'AI FAIT MA PART, QUE CELA VOUS PLAISE OU NON

Az fanm djòk Anicia Berton

dimanche 22 août 2021

LETTRE OUVERTE DU MIR

 Martinique : Quand Garcin Malsa, le Président du Mouvement International pour les Réparations liées à l’esclavage (MIR) accuse Emmanuel Macron et son gouvernement d’avoir contribué à répandre le Covid au sein de la population martiniquaise via des milliers de touristes déversés sur l’île pour pouvoir ensuite justifier de la nécessité de vacciner les habitants.

Dans une lettre ouverte adressée le 16 août dernier au Chef de l’Etat, avec copie au Premier ministre et au ministre de la Santé, Garcin Malsa n’y va pas par quatre chemins.

Il accuse Emmanuel Macron de faire preuve de « mépris » à l’égard des Martiniquais, de les avoir confinés pour les « punir » de continuer à refuser le vaccin anti-Covid.

Il prévient que les réfractaires ne céderont pas.

« C’est pourquoi, Monsieur le Président nous vous annonçons que nous ne baisserons jamais les bras dans cette lutte que nous avons engagée pour ne pas être détruits par vos injections mortelles et mortifères », écrit-il.
« Nous avons bien compris qu’il y va de notre survie. L’esclavage ne nous a pas tués. La colonisation ne nous a pas tués. L’empoisonnement, la déportation, n’ont pas eu raison de nous, Votre vaccin sera impuissant. Nous savons qui nous sommes », conclut-il.

Alors que plus de 63 % de la population française est vaccinée contre le coronavirus, des disparités s’observent entre régions, en particulier avec les territoires ultramarins dont la Martinique où les couvertures vaccinales n’atteignent, parfois, pas plus de 20 %.

Voici la copie intégrale de la lettre ouverte de Garcin Malsa au President de la République :
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Monsieur le Président,
AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
Depuis près d’une semaine la Martinique est au cœur des inquiétudes de votre gouvernement au motif que la population ne veut pas se faire vacciner alors que la contamination par le variant du virus Covid19 augmente dans des proportions inquiétantes.
Vous avez même cru devoir envoyer dans mon pays des centaines de soignants ainsi que des militaires pour venir au secours des martiniquais.
Permettez-moi de douter fortement de la véracité de votre inquiétude au vu des mesures que votre gouvernement via son représentant en Martinique a prises et que nous tenons à dénoncer fermement.
En effet, alors que le fameux variant fait rage chez vous, vous avez permis l’arrivée journalière chez nous d’une dizaine de gros porteurs bondés de touristes de sorte que leur nombre a largement dépassé celui des habitants de l’ile.
Ces touristes n’ont fait l’objet d’aucun contrôle à leur arrivée à l’aéroport Aimé Césaire et n’ont pas été placés en quarantaine de sorte qu’ils ont circulé librement et ont contribué à contaminer la population.
Votre gouvernement est resté sourd aux cris d’alertes lancés par les associations qui dénonçaient cette situation.
Et il est arrivé ce qu’il devait arriver et que vous aviez sans doute programmé : une contamination massive de la population martiniquaise.
Vos représentants auraient pu limiter les conséquences de cette contamination en prodiguant des soins aux personnes atteintes du Covid 19. Mais au contraire ils ont refusé tout protocole de soins à ces malades à qui ils n’ont donné que du doliprane attendant de les transférer soit en réanimation, soit à la morgue.
Le personnel soignant de la Martinique dont personne ne peut nier le dévouement et la compétence s’est trouvé confronté à une situation particulièrement difficile puisqu’il a été mis dans l’incapacité de prodiguer des soins aux malades alors qu’ils exercent souvent en sous-effectif dans des conditions déplorables, dans un hôpital particulièrement sinistré à tout point de vue.
Comment comprendre que le CHU de Martinique n’ait que dix-neuf lits de réanimation pour une population d’environ 380 000 habitant alors que la Martinique est soumise à des risques naturels majeurs qui peuvent survenir à n’importe quel moment (tremblement de terre, ouragans,
Comment comprendre que l’Etat n’a toujours entrepris aucune démarche sérieuse pour régler le problème de la prise en charge des effets délétères du chlordécone qui fait de plus en plus de morts de cancers en Martinique, sans compter les troubles neurologiques (maladie de parkinson, d’Alzheimer et autres directement liées à l’ingestion de cette molécule).
Pensez-vous sérieusement que la misérable somme de 100 000 euros que vous avez récemment accordée pour la mise en œuvre d’un énième plan chlordécone pour les deux îles Guadeloupe Martinique puisse vraiment permettre une prise en charge de ce grave problème quand vous accorder des milliards à des entreprises qui n’en ont pas besoin.
Quel mépris envers notre peuple !
Mais vos services ont cru devoir aller plus loin en exerçant une sorte de chantage teintée de menace sur la population martiniquaise qui refuse de prendre la thérapie génique, au stade expérimental, que vous appelez vaccin, et dont les effets secondaires délétères sont largement connus de tout un chacun.
En Martinique l’information circule très vite et nombreux sont les pères et mères de familles qui sont venus désespérés voir les associations tel le MIR pour parler du décès ou des maladies invalidantes de leur parents suite à la prise d’un de ces « vaccins ».
Constatant que le peuple martiniquais persistait dans son refus de se faire injecter ces vaccins, votre représentant a décidé de nous punir carrément en décidant de nous confiner, nous interdisant l’accès à tous les lieux de loisirs (restaurants, cinémas hôtels etc...) qui ont été fermés. Votre préfet nous a même interdit l’accès à la mer.
Dernier acte destiné à parfaire votre démarche d’humiliation : l’envoi de soignants et de pompiers français chez nous pour soi-disant nous venir en aide alors que vous n’avez pas daigné faire appel à la réserve de soignants à la retraite et en congé dont nous disposons et qui étaient prêts à s’investir.
Dans le même temps, vous avez pris soin d’envoyer chez nous un contingent de militaires, sans justifier d’une telle démarche au demeurant totalement inexplicable. Que viennent faire ces militaires de la gendarmerie dans un pays dont, selon vous la population, serait gravement malade victime d’un terrible désastre sanitaire ?
Que cherchez-vous ? Croyez-vous que nous aurons peur de vos barbouzes et que nous céderons en nous faisant injecter votre pseudo vaccin ?
Pourquoi nous envoyer vos forces armées alors que selon vos scientifiques, œuvrant sur les grands médias télévisuels, estiment que nous ne sommes que des pauvres illettrés alcooliques accros au vaudou ou aux injonctions de la vierge Marie, tant le racisme est institutionnel dans votre pays des droits de l’homme blanc.
Nous n’entendons pas justifier auprès de vous de notre humanité que vos journalistes et autres chroniqueurs continuent de nier quotidiennement sur tous vos médias.
Comme ces messieurs et dames le laissent entendre et l’affirment parfois, sans y voir le moindre racisme, « quand on est noir on assume ». Et si on proteste c’est qu’on fait du racisme anti blanc.
Nous sommes les survivants d’un peuple qui a connu des siècles d’esclavage de colonisation de brimades en tous genres.
Nous avons surmonté ces situations atroces parce que nous n’avons jamais cessé d’être ce que nous étions avant d’être capturés et réduits en esclavage, des guerrier (re)s, des hommes et femmes libres fort(e)s et puissant(e)s.
Notre dignité humaine nous la portons en nous et n’avons pas besoin de votre reconnaissance pour être libres et conséquents avec nous-mêmes.
Votre vaste entreprise de créolisation tendant à nous faire accepter d’être ce que vous voulez que nous soyons et non plus ce que nous sommes réellement a échoué.
Notre humanité est restée et restera intacte et c’est sans haine et sans la moindre rancœur que nous exigions que vous répariez tous les torts causés à notre peuple et dont les conséquences sont bien présentes.
Il n’est plus temps de tenter de nous gruger.
Nous savons qui nous sommes.
Nous savons qui vous êtes et ce dont vous êtes capables de faire non seulement à nous mais à l’humanité toute entière.
C’est pourquoi, Monsieur le Président nous vous annonçons que nous ne baisserons jamais les bras dans cette lutte que nous avons engagée pour ne pas être détruits par vos injections mortelles et mortifères.
Nous avons bien compris qu’il y va de notre survie.
L’esclavage ne nous a pas tués,
La colonisation ne nous a pas tués,
L’empoisonnement, la déportation, n’ont pas eu raison de nous, Votre vaccin sera impuissant,
Nous savons qui nous sommes.
Recevez Monsieur le Président nos respectueuses salutations.

Garcin MALSA Président du Mouvement
International pour les Réparations
Copie Á MONSIEUR LE PREMIER MINISTRE AU MINISTRE DE LA SANTÉ

C'EST FACTUEL... C'EST SIMPLEMENT FACTUEL



Cette petite phrase lâchée par Valérie Denux lors du dernier point Covid tenu a l'aéroport, n'est peut-être pas si innocente que ça...
L'histoire se passe à la prison de Baie-Mahault. Un détenu récemment vacciné ne comprenant pas qu'il soit contaminé pète un câble :
Le détenu : comment ça je suis positif CoVid ? On m'a harcelé pour me faire vacciner en me promettant d'être protégé ! Vous vous foutez de moi ou quoi ?
L'agent pénitentiaire : non vous n'êtes pas vacciné monsieur !
Le détenu : an ka di-w an vaksiné fwè la ! Ki jan ou ka di mwen non ?
L'agent pénitentiaire : la base de données m'indique le contraire. Je n'ai pas trace de votre vaccination CoVid.
Le détenu (brandissant le document qui lui a été remis le jour de son injection) : mi pwèv la
L'agent pénitentiaire (confus) : je ne comprends rien
Il a été rapporté à Sentinelles Guadeloupe d'autres cas similaires de personnes vaccinées qui une fois contaminées par la CoVid ne se retrouvaient plus dans la base de données VAC-SI.
Erreurs informatiques ou disparitions volontaires ? En tout cas, en n'apparaissant pas dans VAC-SI, cela devient "factuel... Simplement factuel" qu'ils ne sont pas vaccinés... Et contaminés, surtout s'ils sont morts.
Nous réclamons à nouveau et pour la énième fois, un contrôle citoyen et politique indépendant des données de l'ARS, et de la gestion CoVid.
Quitte à prêcher dans le désert, quand arrivera l'heure de rendre des comptes, l'histoire devra retenir que nous avions fait notre devoir de citoyens Sentinelles.

Éric Coriolan
Sentinelles Guadeloupe

samedi 21 août 2021

Pour qui il se prend le Dr Raymond Helenon qui, a la tête de l’ordre dés médecins, donne des leçons à la presse ?



Il se prend pour qui, il faudrait que les médias lui demandent son autorisation et qu’il leur fasse le conducteur des émissions ?
L’ordre des médecins n’a qu’à s’occuper de la déontologie des médecins et de la sécurité des patients .
Il y a quelques années un médecin a été jugé et condamné devant la Cour d’assises pour plusieurs viols commis sur des patientes, le Dr Hélénon n’a eu rien à dire ou écrire pour s’indigner ?
On n’a pas entendu l’ordre des médecins !
Un médecin généraliste a été jugé et condamné pour avoir abîmé des patientes en pratiquant de la chirurgie esthétique dans son cabinet, on n’a entendu ce Dr Raymond Helenon, ni l’Ordre des médecins !
D’autres faits sont connus, des enfants ont parlé…
J’ai été témoin de l’émotion d’une jeune fille qui voyant dans une station d’essence un médecin, est allée lui dire ses quatre vérités. Quelque années plus tôt alors qu’elle était plus jeune, en consultation, il l’avait touchée, où il ne fallait pas.
La journaliste que je suis qui a couvert les affaires judiciaire pendant plus d’une vingtaine d’année, a eu à entendre bien des témoignages !
Je suis prête a rencontrer ce monsieur la censure pour lui exposer des faits !
Si ce médecin n’a rien à faire, qu’il aille aider à l’hôpital !
Ça suffit, cette police de la pensée qui s’étend, menace !

Pawol Freepawol

COVID : GUADELOUPE, PAS DE LITS, PAS D'ECMO, PAS D'OXYGÈNE, PAS D’IVERMECTINE... MAIS UNE MORGUE.



La Une du journal Libération de ce vendredi 20 août 2021, est le nouveau crachat jeté à la face de la Guadeloupe et des Antilles en général.
En choisissant d’afficher en première de couverture la morgue du CHU de Pointe-à-Pitre, le journal Libération s’inscrit dans la ligne éditoriale choisie par les autorités locales en charge de la gestion de la crise sanitaire.
Une ligne éditoriale soigneusement préparée et copieusement propagandée depuis 3 mois à grands renforts de communication avec un objectif clair : augmenter par la peur et le catastrophisme, la vaccination Covid locale.
Depuis le mois de juin, des prédicateurs de la croisée vaccinale, missionnés par l’ARS Guadeloupe, dressaient comme une prémonition, le sombre tableau d’une Guadeloupe non vaccinée qui serait frappée par une 4ème vague meurtrière. Certains annonçaient même le défilé de cadavres transportés dans des « sacs noirs ».
Beaucoup de propagande de peur mais peu d’anticipation effective de l’impact de la vague, annoncée pourtant si meurtrière.
Beaucoup de propagande de peur mais un CHU dans l’impréparation la plus absolue au moment de l’impact :
▪︎ Stock et équipement d’oxygène manquant (finalement partis de l’hexagone le 15 août)
▪︎ Validations par la direction de départs en congés de plusieurs cadres de santé malgré l'imminence d'une vague annoncée "inédite".
▪︎ Non préparation à l’utilisation des 2 ECMO (ExtraCorporeal Membrane Oxygenation) disponibles en Guadeloupe, mais pour lesquels personne n’a été formé à l’utilisation ou rapatrié en prévision de la 4ème vague. En France hexagonale, lors des vagues aiguës, l’analyse des résultats à 90 jours a montré une survie de 46% pour des patients les plus graves dont la survie prévisible sans ECMO était quasi nulle.
Beaucoup de propagande de peur mais une Agence Régionale de Santé qui interdit la délivrance en pharmacie d’Ivermectine pourtant prescrite, à des patients en début de symptômes par certains médecins cherchant à soigner et sauver. Faire leur métier en fait... Ivermectine dont les bons résultats annoncés dans plusieurs pays du monde sont frénétiquement « fact-checkés » par l’armée de chasseurs de fake-news, jusqu'en Guadeloupe, au service de la propagande vaccinale gouvernementale.
Pourtant si l’on s’en réfère au discours martial du président Français du 16 mars 2020, en temps de « guerre », la priorité eut été de sauver des vies. Nous assistons au contraire en Guadeloupe. De nombreux Guadeloupéens qui auraient pu survivre sont parti parce que l’incompétence, le respect de certaines règles et procédures absurdes, ont eu raison de la condition d’Être Humain. Insupportable régression…
C’est dans ce contexte que l’on continu de culpabiliser les populations locales pour les contraindre à la vaccination de masse, pourtant en échec en Islande (vacciné à 71.52%), à Malte (vacciné à 82.49%), en Israël (vacciné à 62.81%), au Royaume-Uni (vacciné à 62.02%). Sans compter les pays quasiment sans épidémie et pourtant quasiment sans vaccins comme La Nouvelle-Zélande (vaccinée à 19.79%), Taïwan (vacciné à 3.13%), Vietnam (vacciné à 1.61%), Haïti (vacciné à 0%), Madagascar (vacciné à 0%), Inde (vacciné à 9.09%), Algérie (vacciné à 1,65%), Afghanistan (vacciné à 0%)
C’est dans ce contexte que Libération publie aujourd’hui son torchon propagandiste funeste sans le moindre respect des dépouilles des Guadeloupéens sacrifiés, rejoignant par cet acte méprisable, la cohorte de médias et personnalités locales, lancée dans une guerre contre la population pour la satisfaction de la directrice de l’ARS en retard d’objectifs vaccinaux. Rien à voir avec la santé des Guadeloupéens qui n’est qu’une variable d’ajustement des carrières des uns et des autres.
Bref, le seul enseignement de cette article odieux vraisemblablement commandée par la propagande gouvernementale pour placer la Guadeloupe en tête de gondole et tenter de vider le stock de vaccins en rayons, c’est qu’au CHU de Pointe-à-Pitre il y a une morgue…

Eric Coriolan
Sentinelles Guadeloupe

samedi 31 juillet 2021

Lettre ouverte à Mr le préfet de la Martinique


 
Monsieur le préfet,

Monsieur le premier ministre,
Monsieur le président de la République,
La mort prématurée de Jacob Desvarieux des suites du covid nous enseigne une fois de plus que le vaccin que vous souhaitez nous imposer par tous les moyens ne protège pas, ne sauve pas et pourrait même dans certains cas aggraver la santé des personnes atteintes par le covid.
La mort de Jacob Desvarieux illustre bien qu'être vacciné ne garantit pas d'une fin tragique après avoir été contaminé.
Qui plus est, si la fonction d'un vaccin est une substance pathogène qui, inoculée à un individu, lui confère l'immunité contre une maladie. Il serait urgent que vous nous expliquiez les raisons réelles de votre acharnement et celles du gouvernement à vouloir nous injecter à tout prix une substance qui ne confère aucunement d'immunité contre le covid !
Car si ce vaccin remplissait sa fonction principale s'agissant de l'immunité recherchée, nous ne pleurions tous ses morts dont le chiffre ne cesse de progresser, telle une hécatombe malgré la diffusion à grande échelle de cette substance qui est loin de posséder les caractéristiques intrinsèques d'un vaccin.
Nous ne prétendons pas être des experts, pas plus que vous, ni tous ces brillants scientifiques qui ne sont parvenus à aucun consensus sur l'intérêt de la vaccination.
En dépit de toutes ces raisons qui appellent raisonnablement à la prudence, vous multiplier jours après jours les mesures restrictives, privatives et punitives pour soumettre le peuple au diktat des laboratoires pharmaceutiques dont le seul objectif est d'engranger des milliards.
Monsieur le représentant de l'État dans le département, nous vous remercions de vous appliquer avec tant de détermination à vouloir prendre soin de notre santé, cela est louable mais lorsque le remède préconisé et de plus en plus imposé semble pire que la maladie elle-même, la constitution nous garantit de la liberté de disposer de nous-mêmes, à moins que la constitution française n'ait été reformée récemment sans qu'on ne le sache !
En outre, nous respectons votre liberté, en retour nous vous demandons de respecter la nôtre d'accepter ou de refuser l'injection d'une substance qui n'a pas encore prouvé à ce jour son intérêt scientifique.
Sincères salutations.