C'est ce manque de réalisme qui nous cause tant de deboires. On n'a qu'à regarder la structure de l'administration publique haïtienne pour comprendre le gaspillage des maigres ressources du pays.Un pays qui se trouve au bord de la famine, ou même l'eau potable est devenue un luxe; nous avons un ministère de la culture , un ministère de la condition féminine,un ministère de la jeunesse et aux sports,un ministère des haïtiens a l'etranger ;tous ces ministères n'ont pas les ressources nécessaires pour remplir leurs fonctions; tandis que le Ministre de l'agriculture se plaint de l’inadéquation du budget de son ministère pour aider les paysans à acheter des engrais et des semences. Certaines écoles ne disposent meme pas de chaises pour les elèves, tous les élèves ont payé pour la rentrée des classes. La police nationale n'a pas de budget pour payer les policiers, les gens croupissent en-dessous des tentes, ll n'y a rien que les riches et certains parvenus de la classe moyenne qui ont justice, et encore et encore. MARTELLY PARLE DE REFAIRE L'ARMÉE AVEC L'ARGENT DE L'ÉLITE FÉODAL ET DE L'INTERNATIONNAL. LES PRIORITÉS DE MARTELLY VONT TUER LE PEUPLE À PETIT FEU.
Actualités politiques, économiques, sociologiques et touristiques des Antilles, des Antillais, des Ultramarins, et de l'Afrique
samedi 8 octobre 2011
LE MANQUE DE PRAGMATISME DE MARTELLY, TUE LE PAYS
Libellés :
Haiti
La reine d’Espagne visite ses nègres de service en Haïti
Le nègre de service, l’esclave domestique abruti, fait de l’histoire falsifiée de son maître le sien. Conséquemment, de nos jours, il voue un culte aux descendants des bourreaux de nos ancêtres. De plus, celui-ci constitue un fidèle allié à nos ennemis traditionnels. Ainsi, la plupart du temps, c’est avec une énergie hors du commun, doublée d’une arrogance faite de vulgarité et d’une ignorance manifeste, qu’il se porte à la défense des intérêts idéologiques et économiques de nos ennemis traditionnels aux dépens des intérêts supérieurs de notre nation.
En tenant compte de ce qui précède, même le plus simple d’esprit d’entre nous, en qui subsisterait encore la moindre parcelle de cohérence et d’honnêteté, est forcé d’admettre qu’un tel individu représente de par ses réflexions, de par son discours et de par ses actions une menace pour la sécurité et la souveraineté de notre pays.
La menace que représente le nègre de service, l’esclave domestique abruti, qui fait du passé falsifié de son maître le sien, devient une tragédie nationale quand notre pays est justement dirigé par des êtres aussi dégénérés, comme il en est le cas présentement en Haïti, que le bouffon Sweet Mickey et ses comparses de cirque.
Pour illustrer nos propos, retenons en exemple cette visite de la reine d’Espagne en Haïti et l’accueil qui lui a été réservé. En effet, notre bouffon Sweet Mickey et ses comparses de cirque semblent oublier que l’importation des premiers Noirs en Haïti, en 1503, pour en faire des esclaves dans les camps de concentration à ciel ouvert qu’étaient les mines d’or et les plantations, a été justement une initiative de la couronne espagnole; et que jusqu’à présent, l’Espagne ne s’est pas excusée pour notre Holocauste; elle n’a pas procédé aux restitutions et aux réparation pour les crimes qu’elle a commis contre nous.
Verrait-on des descendants des nazis, des représentants du IIIe Reich, tout en dédaignant de s’excuser, de procéder à des restitutions et à des réparations pour les crimes commis contre les juifs européens, foulés le sol d’Israël sous les applaudissements des dirigeants de cet État; qui se seraient faits un devoir de les accueillir avec distinction?
Malheureusement, cette vision délirante et invraisemblable constitue notre réalité.
Travaillons à libérer notre pays de l’occupation étrangère. Car dans une Haïti libre, souveraine et indépendante, les nègres de service, les esclaves domestiques abrutis, qui font du passé falsifié de leurs maîtres le leur seraient tenus loin de la gestion des affaires de l’État.
Répétons avec nos ancêtres, sous le leadership de Dessalines, le père fondateur de notre pays :
Indépendance ou la Mort!
Haiti Antipropagande, vendredi 7 octobre 2011
En tenant compte de ce qui précède, même le plus simple d’esprit d’entre nous, en qui subsisterait encore la moindre parcelle de cohérence et d’honnêteté, est forcé d’admettre qu’un tel individu représente de par ses réflexions, de par son discours et de par ses actions une menace pour la sécurité et la souveraineté de notre pays.
La menace que représente le nègre de service, l’esclave domestique abruti, qui fait du passé falsifié de son maître le sien, devient une tragédie nationale quand notre pays est justement dirigé par des êtres aussi dégénérés, comme il en est le cas présentement en Haïti, que le bouffon Sweet Mickey et ses comparses de cirque.
Pour illustrer nos propos, retenons en exemple cette visite de la reine d’Espagne en Haïti et l’accueil qui lui a été réservé. En effet, notre bouffon Sweet Mickey et ses comparses de cirque semblent oublier que l’importation des premiers Noirs en Haïti, en 1503, pour en faire des esclaves dans les camps de concentration à ciel ouvert qu’étaient les mines d’or et les plantations, a été justement une initiative de la couronne espagnole; et que jusqu’à présent, l’Espagne ne s’est pas excusée pour notre Holocauste; elle n’a pas procédé aux restitutions et aux réparation pour les crimes qu’elle a commis contre nous.
Verrait-on des descendants des nazis, des représentants du IIIe Reich, tout en dédaignant de s’excuser, de procéder à des restitutions et à des réparations pour les crimes commis contre les juifs européens, foulés le sol d’Israël sous les applaudissements des dirigeants de cet État; qui se seraient faits un devoir de les accueillir avec distinction?
Malheureusement, cette vision délirante et invraisemblable constitue notre réalité.
Travaillons à libérer notre pays de l’occupation étrangère. Car dans une Haïti libre, souveraine et indépendante, les nègres de service, les esclaves domestiques abrutis, qui font du passé falsifié de leurs maîtres le leur seraient tenus loin de la gestion des affaires de l’État.
Répétons avec nos ancêtres, sous le leadership de Dessalines, le père fondateur de notre pays :
Indépendance ou la Mort!
Haiti Antipropagande, vendredi 7 octobre 2011
Libellés :
Haiti
jeudi 6 octobre 2011
Un nouveau rapport conclut au rôle majeur des institutions financières de développement dans la création d’emplois sur les marchés émergents
Washington, le 23 septembre 2011. Un nouveau rapport conclut que les institutions financières de développement jouent, à travers le secteur privé, un rôle décisif de catalyseur de création d’emplois et de croissance sur les marchés émergents, en particulier dans un contexte marqué par des pressions accrues sur les ressources publiques.
Produit par 31 institutions financières de développement (IFD), ce rapport intitulé International Finance Institutions and Development through the Private Sector, a été lancé à l’occasion des assemblées générales annuelles de la Banque mondiale et du FMI. De hauts fonctionnaires de plus de 20 IFD ont assisté à la manifestation organisée pour ce lancement.
Les principaux constats de ce rapport sont les suivants :
• Les IFD apportent des capitaux et des connaissances critiques au secteur privé des pays en développement. Les investissements directs étrangers dans le secteur privé dépassent 40 milliards de dollars d’engagements par an – environ 5 % des flux de capitaux orientés vers les marchés émergents.
• Les IFD aident les entreprises à établir des normes et à gérer les risques dans des domaines tels que l’environnement, les questions sociales, la gouvernance d’entreprise, l’hygiène et la sécurité, l’intégrité des bailleurs de fonds et de l’entreprise, le droit du travail et les droits de l’homme, la transparence sur les revenus et l’information financière internationale.
• Les IFD favorisent de nouveaux financements apportés par d’autres acteurs du secteur privé. Chaque dollar de capital apporté par les IFD peut conduire à 12 dollars d’investissement dans des projets du secteur privé.
• Les IFD soutiennent l’entrepreneuriat et l’innovation et aident ainsi à démontrer la viabilité des solutions privées dans des domaines nouveaux ou exigeants.
Les principaux constats de ce rapport sont les suivants :
• Les IFD apportent des capitaux et des connaissances critiques au secteur privé des pays en développement. Les investissements directs étrangers dans le secteur privé dépassent 40 milliards de dollars d’engagements par an – environ 5 % des flux de capitaux orientés vers les marchés émergents.
• Les IFD aident les entreprises à établir des normes et à gérer les risques dans des domaines tels que l’environnement, les questions sociales, la gouvernance d’entreprise, l’hygiène et la sécurité, l’intégrité des bailleurs de fonds et de l’entreprise, le droit du travail et les droits de l’homme, la transparence sur les revenus et l’information financière internationale.
• Les IFD favorisent de nouveaux financements apportés par d’autres acteurs du secteur privé. Chaque dollar de capital apporté par les IFD peut conduire à 12 dollars d’investissement dans des projets du secteur privé.
• Les IFD soutiennent l’entrepreneuriat et l’innovation et aident ainsi à démontrer la viabilité des solutions privées dans des domaines nouveaux ou exigeants.
« L’initiative privée démultiplie les potentialités de croissance et d’innovation. C’est aussi, dans une période de contraction de la dépense publique, un formidable levier de développement pour répondre aux besoins des populations notamment par la création d’emplois et la fourniture de services de base aux plus pauvres. » explique Etienne Viard, Directeur Général de PROPARCO. Il rajoute : « Les institutions financières de développement ont un rôle clef à jouer dans le développement du secteur privé et la promotion des bonnes pratiques sociales et environnementales pour favoriser une croissance durable et inclusive».
Ce rapport a été parrainé par la Table ronde des institutions de développement du secteur privé, une rencontre annuelle des dirigeants des IFD spécialistes du secteur privé, coordonnée par l’IFC.
Télécharger le rapport (PDF)
Ce rapport a été parrainé par la Table ronde des institutions de développement du secteur privé, une rencontre annuelle des dirigeants des IFD spécialistes du secteur privé, coordonnée par l’IFC.
Télécharger le rapport (PDF)
PROPARCO, institution financière de développement, est détenue par l’Agence Française de Développement (AFD) et des actionnaires privés du Nord et du Sud. Sa mission est de catalyser l’investissement privé dans les pays émergents et en développement en faveur de la croissance, du développement durable et de l’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement. PROPARCO compte parmi les principales institutions financières bilatérales de développement dans le monde. Elle intervient sur quatre continents, allant des grands pays émergents aux pays les plus pauvres, en particulier en Afrique, avec un haut niveau d’exigence en matière de responsabilité sociale et environnementale.www.proparco.fr
Benjamin NEUMANN
Mirlande Manigat se dit favorable à une force armée, mais spécialisée
La secrétaire générale du Rassemblement des démocrates nationaux progressistes (RDNP), Mirlande Manigat, réagissant sur le projet de la nouvelle force nationale proposée par le président Michel Martelly, a affirmé que l'armée d'Haïti existe toujours sur le plan juridique et s'est dite favorable à la démarche visant à la remettre sur pied. « Mais elle doit être une force armée professionnalisée », a-t-elle précisé.
Haïti: « C'est un vieux dossier réchauffé de temps en temps, pour des raisons politiques et parfois il se réchauffe mal », a affirmé l'ex-candidate à la présidence dans les dernières élections, alors qu'elle participait au premier congrès de la Coalition des femmes leaders (COHFEL), qui se déroulait vendredi à l'hôtel Ritz Kinam.
Pour faire le point sur la situation actuelle, Mme Manigat a déclaré que sur le plan juridique, l'armée d'Haïti existe toujours. « Mais c'est vrai, il n'y a pas de caserne, pas de soldats, pas d'officiers, pas d'armes ni d'uniformes. Il n'y a rien », ajoute-t-elle.
Pour l'ex-première dame de la République, la question fondamentale à se poser par rapport à tout ce que l'on pourrait reprocher à l'armée serait : « Est-ce pour la sécurité de l'État, la sécurité du territoire ou la sécurité des citoyens qu'il nous faut une force militaire qui soit différente de la police? ». « Ce sont deux corps différents, poursuit-elle; on apprend à faire la guerre aux militaires, on les entraîne pour ça. Quant aux policiers, on leur apprend à maintenir l'ordre public, à porter secours et à avoir des contacts avec la population civile. Les militaires n'ont pas de contact avec la population civile ».
« Dans notre armée, par contre, les militaires remplissaient également des fonctions de police; donc tout ce qui leur a été reproché, parce qu'ils étaient policiers également, tous les mauvais actes se sont retournés sur l'armée en général », affirme Mme Manigat.
« La force armée dont nous avons besoin doit être une force spécialisée, pour la défense du territoire, pour la défense de l'État, ce qui veut dire les trois grands pouvoirs : le pouvoir législatif, le pouvoir judiciaire et le pouvoir exécutif; dans les cas où il y aurait des troubles et que la police ne serait pas en mesure de rétablir l'ordre », indique-t-elle, faisant remarquer que l'armée qui existait, n'était pas bonne.
« C'est une chose que personnellement au RDNP nous avons toujours défendue, avant même que le président Jean-Bertrand Aristide ait dissout virtuellement l'armée. On ne peut pas avoir une armée contre la population, mais une armée qui soit là pour donner à la population confiance et sécurité », affirme-t-elle, indiquant qu'il faut des militaires professionnalisés qui soient au service du développement. « S'il y avait eu une armée, au moment du tremblement de terre, je crois que l'État aurait pu faire face de manière plus efficace à la situation », ajoute-elle.
« Il ne faut pas concevoir l'établissement de l'armée comme un mouvement anti-Minustah par exemple », Mme Manigat, estimant qu'effectivement la force onusienne doit quitter le pays. Elle ajoute toutefois que la Minustah ne peut pas partir brusquement du jour au lendemain. Selon elle, il faudra discuter d'un plan de retrait progressif. « Est-ce que Haïti dispose de suffisamment de moyens, de techniques pour appliquer ce qui serait l'idéal ? », se questionne-t-elle.
Par ailleurs, interrogée sur sa position par rapport à l'intention du président Michel Martelly de rencontrer les anciens présidents d'Haïti, dont Leslie Manigat, dans le cadre d'un dialogue pour la réconciliation nationale, l'épouse de l'ancien chef d'État, d'un ton ironique, se dit prête à recevoir le président Martelly si celui-ci le lui demande.
Elle souligne cependant n'avoir encore reçu aucune invitation. « Je ne l'ai appris que ce matin par le biais de la presse », dit-elle, affirmant qu'elle n'avait jamais eu de problème à parler au président Martelly et que de toute façon, c'est une tradition dans la vie politique haïtienne que les nouveaux chefs d'État rencontrent les anciens chefs d'État qui vivent dans le pays. « C'est peut être dans cette optique, dans cette idée-là qu'il le fait ».
Mme Manigat affirme n'avoir pas d'opinion sur cet appel à la réconciliation. « Cela signifierait qu'il y a des personnes fâchées; il connaît la situation, il sait dans quelle condition il est arrivé au pouvoir », indique-t-elle, estimant que l'appel à la réconciliation est une bonne formule. « Le problème, c'est la réconciliation avec qui et pourquoi faire », dit-t-elle.
John Smith Sanon
Haïti: « C'est un vieux dossier réchauffé de temps en temps, pour des raisons politiques et parfois il se réchauffe mal », a affirmé l'ex-candidate à la présidence dans les dernières élections, alors qu'elle participait au premier congrès de la Coalition des femmes leaders (COHFEL), qui se déroulait vendredi à l'hôtel Ritz Kinam.
Pour faire le point sur la situation actuelle, Mme Manigat a déclaré que sur le plan juridique, l'armée d'Haïti existe toujours. « Mais c'est vrai, il n'y a pas de caserne, pas de soldats, pas d'officiers, pas d'armes ni d'uniformes. Il n'y a rien », ajoute-t-elle.
Pour l'ex-première dame de la République, la question fondamentale à se poser par rapport à tout ce que l'on pourrait reprocher à l'armée serait : « Est-ce pour la sécurité de l'État, la sécurité du territoire ou la sécurité des citoyens qu'il nous faut une force militaire qui soit différente de la police? ». « Ce sont deux corps différents, poursuit-elle; on apprend à faire la guerre aux militaires, on les entraîne pour ça. Quant aux policiers, on leur apprend à maintenir l'ordre public, à porter secours et à avoir des contacts avec la population civile. Les militaires n'ont pas de contact avec la population civile ».
« Dans notre armée, par contre, les militaires remplissaient également des fonctions de police; donc tout ce qui leur a été reproché, parce qu'ils étaient policiers également, tous les mauvais actes se sont retournés sur l'armée en général », affirme Mme Manigat.
« La force armée dont nous avons besoin doit être une force spécialisée, pour la défense du territoire, pour la défense de l'État, ce qui veut dire les trois grands pouvoirs : le pouvoir législatif, le pouvoir judiciaire et le pouvoir exécutif; dans les cas où il y aurait des troubles et que la police ne serait pas en mesure de rétablir l'ordre », indique-t-elle, faisant remarquer que l'armée qui existait, n'était pas bonne.
« C'est une chose que personnellement au RDNP nous avons toujours défendue, avant même que le président Jean-Bertrand Aristide ait dissout virtuellement l'armée. On ne peut pas avoir une armée contre la population, mais une armée qui soit là pour donner à la population confiance et sécurité », affirme-t-elle, indiquant qu'il faut des militaires professionnalisés qui soient au service du développement. « S'il y avait eu une armée, au moment du tremblement de terre, je crois que l'État aurait pu faire face de manière plus efficace à la situation », ajoute-elle.
« Il ne faut pas concevoir l'établissement de l'armée comme un mouvement anti-Minustah par exemple », Mme Manigat, estimant qu'effectivement la force onusienne doit quitter le pays. Elle ajoute toutefois que la Minustah ne peut pas partir brusquement du jour au lendemain. Selon elle, il faudra discuter d'un plan de retrait progressif. « Est-ce que Haïti dispose de suffisamment de moyens, de techniques pour appliquer ce qui serait l'idéal ? », se questionne-t-elle.
Par ailleurs, interrogée sur sa position par rapport à l'intention du président Michel Martelly de rencontrer les anciens présidents d'Haïti, dont Leslie Manigat, dans le cadre d'un dialogue pour la réconciliation nationale, l'épouse de l'ancien chef d'État, d'un ton ironique, se dit prête à recevoir le président Martelly si celui-ci le lui demande.
Elle souligne cependant n'avoir encore reçu aucune invitation. « Je ne l'ai appris que ce matin par le biais de la presse », dit-elle, affirmant qu'elle n'avait jamais eu de problème à parler au président Martelly et que de toute façon, c'est une tradition dans la vie politique haïtienne que les nouveaux chefs d'État rencontrent les anciens chefs d'État qui vivent dans le pays. « C'est peut être dans cette optique, dans cette idée-là qu'il le fait ».
Mme Manigat affirme n'avoir pas d'opinion sur cet appel à la réconciliation. « Cela signifierait qu'il y a des personnes fâchées; il connaît la situation, il sait dans quelle condition il est arrivé au pouvoir », indique-t-elle, estimant que l'appel à la réconciliation est une bonne formule. « Le problème, c'est la réconciliation avec qui et pourquoi faire », dit-t-elle.
John Smith Sanon
Libellés :
Mirlande Manigat
mardi 4 octobre 2011
Egypte : la révolution inachevée
L'hiver dernier, la révolution égyptienne a été une inspiration pour le monde entier. Et les travailleurs ont été au cœur de celle-ci. Leurs grèves ont fait tomber le régime de Moubarak.
Mais aujourd'hui, les dirigeants militaires de l'Egypte continuent à criminaliser les grèves.
Cela n'a pas empêché les travailleurs égyptiens de cesser leur travail dans leurs centaines de milliers. Une vague importante de grèves balaie le pays, avec des écoles, des hôpitaux et des transports publics fermés.
Ces travailleurs sont confrontés au risque d'une répression brutale, sauf si les dirigeants militaires du pays commencent à leur reconnaître le droit fondamental de former et d’adhérer à des syndicats, et de faire grève.
Les nouveaux syndicats indépendants égyptiens et la Confédération syndicale internationale ont lancé aujourd'hui une campagne d'envergure pour faire pression sur le nouveau régime en réclamant la promulgation d’une législation du travail reconnaîssant les droits des travailleurs.
Il est extrêmement important que vous et d'autres membres de votre syndicat y participent aujourd'hui en envoyant un message aux autorités égyptiennes. Il vous faudra moins d'une minute pour le faire.
Cliquez ici pour envoyer votre message.
Et s'il vous plaît, transmettez ce courriel à d'autres membres de votre syndicat.
Merci !
Eric Lee
Mais aujourd'hui, les dirigeants militaires de l'Egypte continuent à criminaliser les grèves.
Cela n'a pas empêché les travailleurs égyptiens de cesser leur travail dans leurs centaines de milliers. Une vague importante de grèves balaie le pays, avec des écoles, des hôpitaux et des transports publics fermés.
Ces travailleurs sont confrontés au risque d'une répression brutale, sauf si les dirigeants militaires du pays commencent à leur reconnaître le droit fondamental de former et d’adhérer à des syndicats, et de faire grève.
Les nouveaux syndicats indépendants égyptiens et la Confédération syndicale internationale ont lancé aujourd'hui une campagne d'envergure pour faire pression sur le nouveau régime en réclamant la promulgation d’une législation du travail reconnaîssant les droits des travailleurs.
Il est extrêmement important que vous et d'autres membres de votre syndicat y participent aujourd'hui en envoyant un message aux autorités égyptiennes. Il vous faudra moins d'une minute pour le faire.
Cliquez ici pour envoyer votre message.
Et s'il vous plaît, transmettez ce courriel à d'autres membres de votre syndicat.
Merci !
Eric Lee
THEMA - Lancement de la TFM dans le Bouquet Africain chez SFR
THEMA*, distributeur de l’offre TV « Le Bouquet Africain** » annonce avoir passé un accord avec l’opérateur SFR pour la reprise inédite en France de la TFM.
La TFM (La Télévision Futurs Médias), chaîne généraliste privée Sénégalaise est «le Miroir du Sénégal ». Fondée par le chanteur et homme d’affaires sénégalais, Youssou Ndour, « la TFM se veut libre et ne se réclame d’aucune chapelle, sinon celle de l’éthique et l’équité ». Faite pour les Sénégalais, elle s’ouvre à l’Afrique et au reste du monde.
Par ailleurs ce nouveau lancement s’accompagne de la reprise de la RTNC (Radio Télévision Nationale Congolaise), chaîne publique de la République Démocratique du Congo (Kinshasa) et propose entre autre du divertissement, des journaux télévisés, talk-show et programmes culturels.
Les chaînes sont disponibles à compter du 4 octobre dans l’offre TV neufbox de SFR et viendront enrichir les offres du Bouquet Africain Basique pour la RTNC et Premium pour la TFM.
Ces deux bouquets rencontrent un grand succès sur le marché français et comptent à ce jour déjà plus de 110 000 foyers abonnés avec 17 chaînes provenant de 11 pays : Cameroun, Sénégal, Mali, Côte d’Ivoire, Burkina Faso, Congo (Brazzaville), Gabon, Guinée, Togo, Bénin et la République démocratique de Congo (Kinshasa).
*Thema, plus de renseignements sur www.thematv.com
** Plus d’informations sur www.lebouquetafricain.com
Cameroun/France : APPEL À MANIFESTER
LE SAMEDI 08 OCTOBRE 2011 DE 14H À 18H, NOUS SOMMES TOUS CONVIES AU GRAND RASSEMBLEMENT QUI AURA LIEU À LA PLACE D'AUTEUIL (Métro Porte d'AUTEUIL Ligne10)
POUR EXIGER :
-LE RÉTABLISSEMENT DE LA DOUBLE NATIONALITÉ ET LE DROIT À LA NATIONALITÉ CAMEROUNAISE POUR TOUS LES DESCENDANTS DES POPULATIONS ET CITOYENS D'ORIGINE CAMEROUNAISE.
-LE RÉTABLISSEMENT DE LA DOUBLE NATIONALITÉ ET LE DROIT À LA NATIONALITÉ CAMEROUNAISE POUR TOUS LES DESCENDANTS DES POPULATIONS ET CITOYENS D'ORIGINE CAMEROUNAISE.
-LA TRANSPARENCE ÉLECTORALE À TRAVERS UNE VÉRITABLE COMMISSION ÉLECTORALE NATIONALE INDÉPENDANTE (CENI)
-LE RETRAIT DE L'AMBASSADEUR DU CAMEROUN À PARIS QUI EST DÉSORMAIS MEMBRE DU COMITÉ CENTRAL DU RDPC, ET LA NOMINATION D'UN DIPLOMATE NEUTRE, NON PARTISAN ET POLITIQUEMENT NON ENCARTÉ AU RDPC
-LE RETRAIT DE L'AMBASSADEUR DU CAMEROUN À PARIS QUI EST DÉSORMAIS MEMBRE DU COMITÉ CENTRAL DU RDPC, ET LA NOMINATION D'UN DIPLOMATE NEUTRE, NON PARTISAN ET POLITIQUEMENT NON ENCARTÉ AU RDPC
-LA MISE À DISPOSITION DE LA SALLE DE CÉRÉMONIES DE NOTRE AMBASSADE À TOUTES LES ORGANISATIONS CAMEROUNAISES DE FRANCE QUI EN FONT LA DEMANDE.
POUR DENONCER :
-LA MISE SOUS TUTELLE DE ELECTIONS CAMEROON (ELECAM) DONT
LES MEMBRES SONT EN REALITE DES MILITANTS ET SYMPATHISANTS DU RDPC ET DONT LES REPRÉSENTATIONS À L'ÉTRANGER SONT SOUS LES ORDRES DES AMBASSADEURS ÉGALEMENT MEMBRES DU RDPC VOIRE DE SON COMITÉ CENTRAL COMME Lejeune MBELLA MBELLA ET WONGO AHANDA.
- LA MASCARADE ÉLECTORALE PRÉVUE LE 09 OCTOBRE 2011
-LA MISE À DISPOSITION UNILATÉRALE ET PRIVILÉGIÉE DES LOCAUX DE CÉRÉMONIE DE L'AMBASSADE DU CAMEROUN EN FRANCE AU PROFIT DE LA SECTION RDPC-FRANCE
TOUS ENSEMBLE LE SAMEDI 08 OCTOBRE À 14H À LA PLACE D'AUTEUIL POUR FAIRE PRÉVALOIR L'OPINION DE LA MAJORITÉ SILENCIEUSE QUE NOUS CONSTITUONS.
LE COMITÉ D’ORGANISATION
dimanche 2 octobre 2011
Bahamas : Journée Internationale d'Action Contre les Guerres menées contre l'Afrique
La Journée Internationale d'Action donnera l'occasion à la communauté Africaine et aux amoureux de la Liberté dans le monde de manifester leur condamnation et leur résistance face aux guerres menées contre les africains et contre leur liberté partout sur la terre.
NASSAU, Bahamas – ‘Africans United’ manifestera sa solidarité à l'occasion de la Journée Internationale d'Action Contre les Guerres menées contre l'Afrique et contre les Africains ce Mercredi 17août en organisant un Panel de Discussion au Yellow Elder Park de 19 heures à 22 heures. En cas de pluie, l'événement se tiendra au gymnase de l'école secondaire gouvernementale.
La Journée Internationale d'Action est une initiative de Black is Back Coalition pour la Justice Sociale, la Paix et les Réparations (Black is Back Coalition for Social Justice, Peace and Reparations) dont le siège est situé basée à Washington, DC, et constitue une réponse aux agressions impérialistes acharnées contre les Africains de partout - en Afrique et partout où les Africains ont été dispersés de force à travers le monde durant le processus de l'esclavage et de la colonisation.
Le but de la Journée est d'élever la conscience des Africains sur la nature du combat des africains et sur la nécessité de résister à des conditions communes d'oppression et d'exploitation expérimentées par les populations africaines partout sur terre.
Ces conditions communes - “guerres”- comprennent, par exemple, une pauvreté et un désespoir imposés, des meurtres perpétrés par la police et l'incarcération de masse, le chômage, la terreur anti-immigration, et des taux élevés de mortalité maternelle et infantile vécus par les Africains globalement.
Ils évoquent également la présence d'AFRICOM et de toutes les nombreuses autres institutions impérialistes qui soutiennent le néocolonialisme en Afrique; la brutalité et la famine infligés aux Africains en Haïti par l'ONU, qui fonctionne comme un bras de la politique américaine, et le bombardement haineux de la Libye ainsi que la tentative violente de renverser ce gouvernement.
La Journée Internationale permettra également de mettre au défi tous ceux qui disent qu'ils sont “pour” la paix et de leur demander de vraiment ouvrir leurs yeux sur les conditions imposées aux peuple africain. Si elles sont vraiment “pour” la paix, elles devraient soutenir le combat juste des Africains pour la justice sociale, la paix et les réparations.
Le 17 août, les présentations de ces différentes “guerres” seront faites par les représentants du African People’s Socialist Party-Bahamas, the Organization of African Unity-Bahamas, the Qubtic Church of the Black Messiah, the Ethiopia Africa Black International Congress, et du Cecil Hall. Jah Doctrine et de Danyie’l Cinque offriront également des prestations. L'événement est ouvert au public en général.
Africans United est une coalition nouvellement formée, établie le 10 avril 2011 et composée de plus de 15 organisations et d'individus de différents courants politiques et idéologiques. Elle est guidée par neuf résolutions et son objectif d'ensemble est d'améliorer les conditions de vie des populations africaines des Bahamas et du monde. Il s'engage également pour la libération totale de l'Afrique et des Africains partout dans le monde.
Charo Walker
Traduit de l'Anglais par Guy Everard Mbarga http://guyzoducamer.afrikblog.com.
Libellés :
diaspora
LA GUINEE A AUJOURD'HUI 53 ANS DE SOUFFRANCE: LA SOLUTION A NOS PROBLEMES N'EST PAS AILLEUR ! LE TEMPS DE REFLECHIR EST IMPERATIF AUX GUINEENS !
- Mon esprit a été façonné par la France, mon coeur sculpté par la Guinée. Ma vie se fera sur le pont que tous les immigrés ont construit entre les deux pays.
A quand la redistribution des immenses richesses de notre chère nation, l'accès à un système de soins décent, l'éducation, de la nourriture pour tous ?
Qu'on ne se voile pas la face, nos problèmes en Guinée ne sont pas ailleurs, ils trouvent leurs racines dans les comportements de ceux qui nous ont dirigés et ceux qui tenterons aussi a reproduire les tares qu'ils reprochaient au régime :
- Le principal facteur d'embrasement social de notre chère patrie est la misère de la jeunesse, et du peuple en général,.......
Comment a-t-on pu en arriver là ? - impunité pour les voleurs des deniers publics, les auteurs d'abus de biens sociaux et d'abus de pouvoir ou la gabegie financière etc.
- Ce qui freine aussi le développement de notre chère patrie est que: nos fonctionnaires et les populations rurales ne se définissent pas par rapport aux même objectifs, ils ne parlent pas le même langage. Or un fonctionnaires est celui là qui est censé de résoudre avec dynamisme les situations particulières de sont lieu d'affectation, en cherchant à comprendre les différents aspects particulière. Mais hélas, comme à l'accoutumée, nos administrateurs ne sont utile et rentable que lorsqu'il s'agit de mettre leurs génie créateur à la mobilisation d'electeur en faveur des pouvoirs politiques en place, sa c'est pas leurs missions auprès du peuple docile guinéen.
Guinee Solidaire
Libellés :
guinee
Les humiliations, les viols et les massacres dont nous faisons objet ne sont que temporaires
Depuis 2004, année bicentenaire de notre indépendance, nos ennemis traditionnels, avec la complicité de nos traîtres, violent notre liberté, notre souveraineté et notre indépendance. De plus, dans le cadre de cette humiliaion nationale, les descendants des bourreaux de nos ancêtres volent, persécutent, torturent, violent et massacrent les Noirs les plus appauvris de notre peuple. Tout Noir, tout haïtien, tout être humain digne de ce nom ne saurait rester indifférent à la barbarie onusienne en Haïti.
Cependant cette humiliation nationale, ces viols et ces massacres perpétrés contre nous ne sont que temporaires. Car l'heure de la désoccupation est arrivée. En effet, malgré la barbarie et la puissance militaire de nos ennemis, ils n'ont pas pu et ils n'arriveront jamais à détruire notre puissance spirituelle distinctive. Cette puissance sprirituelle qui a fait de nous ce que nous sommes...Ils ne pourront jamais réduire au silence notre volonté de nous constituer en peuple Noir libre ou de mourir; d'êtres une nation Noire souveraine ou de mourir; d'être un pays Noir indépendant ou de mourir.
En effet, dès 1804, nos ennemis traditionnels s'étaient fixés comme objectifs de nous inciter à regretter d'avoir conquis notre liberté, notre souveraineté et notre indépendance. Évdemment, nous ne pouvons qu'êtres fieers de cette réalisation humaniste et humanitaire de nos ancêtres. Aujourd'hui, il nous incombe de reconquérir notre liberté, notre souveraineté et notre indépendance; et de nous assurer de renforcer, de préserver, de protéger et de défendre ces acquis que nous ont laissés nos ancêtres, sous le leadership de Dessalines, afin que les futures générations n'aient pas à faire face aux défis dont nous avions la resposabilité de relever.
En conséquence, nous devons donc nous exercer à nous défaire des liens psychologiques de l'esclavagisé, du colonisé, qui, par souci de plaire à son maître, s'amuse à le singer en vue de se faire accepter, d'être recoonu et d'avoir l'approbation de son propriétaire.
L'enjeu ce n'est pas de savoir comment que les pays envahisseurs ''amis '' d'Haïti se comporteront-ils face à notre refus de renoncer à notre liberté, à notre souveraineté et à notre indépendance, comme ils le souhaitent depuis toujours, mais plutôt est-ce que la présence de ces monstres sur le territoire national va à l'encontre des valeurs et des principes fondateurs de la patrie haïtienne et de notre constitution.
Patriotes nationaliste levons-nous, faisons passer le message : La désoccupation de notre pays c'est pour bientôt; et c'eat à nous, Haïtiens vivant dans le pays et de la diaspora , qu'il incombbe le devoir moral, historique et patriotique de le faire.
Répétons avec Dessalines, le père fondateur de la nation:
Indépendance ou la Mort !
Haiti Antipropagande, dimanche 2 octobre 2011
Libellés :
Haiti
samedi 1 octobre 2011
Communique du gouvernement guinéen relatif au Rapport d’Amnesty International sur la manifestation du 27 septembre 2011
C’est avec regret que nous prenons connaissance de votre rapport relatif aux événements du 27 septembre dernier survenus sur l’axe de la route Le Prince à Conakry, République de Guinée. En effet, les conclusions de ce rapport, qui affirme de façon péremptoire que « le président Alpha Condé a recours aux mêmes méthodes brutales que ses prédécesseurs », sont injustes et infondées dans la mesure où elles s’appuient sur des informations totalement erronées.
Votre version des faits retient entre autres que :
1. Trois manifestants auraient été tués « … au cours d'affrontements entre la police et des manifestants lors d'un rassemblement de l'opposition »
2. « des manifestants qui se rendaient dans un stade ont été brutalement stoppés par des policiers qui ont utilisé des balles réelles »
3. « il semble que les forces de police n'aient reçu aucun ordre visant à limiter leur recours à la force »
S’agissant du point 1 :
Deux décès peuvent être formellement enregistrés comme étant liés à la manifestation du 27 septembre. Ces décès sont consécutifs à des blessures à l’arme blanche et l’une au moins des victimes a été tuée lors d’affrontements entre jeunes manifestants. Ces faits ont été rapportés par la famille même de ladite victime et le témoignage y relatif est vérifiable. Un troisième corps portant une blessure par balle a effectivement été déposé par des inconnus à la morgue de l’hôpital Donka le 27 septembre dans l’après-midi. L’expertise et les enquêtes en cours détermineront les circonstances du décès.
Il aurait suffit à votre ONG de s’adresser aux services hospitaliers compétents pour avoir ces informations.
Nous vous informons que le soir même des événements une information judiciaire a été ouverte pour ces décès.
Sur le point 2 :
Les seuls équipements dont étaient dotées les forces de Police et de Gendarmerie étaient ceux conventionnellement requis pour le maintien de l’ordre à l’exclusion de toute arme à feu. Il est donc totalement erroné d’affirmer que des policiers ont utilisé des balles réelles.
Comme vous le savez, tous les militaires étaient consignés au camp et il leur avait été interdit d’être en dehors de ces camps que ce soit en uniforme ou en civil.
C’est suite à l’érection des barricades pour empêcher la circulation puis aux jets de pierres sur les policiers, gendarmes et population riveraines que la Police et la Gendarmerie sont intervenues pour rétablir l’ordre.
Plusieurs missions diplomatiques occidentales qui avaient des agents présents sur le terrain ont eu à reconnaitre le professionnalisme des gendarmes et des policiers et ont constaté les dommages occasionnés.
Il est important de rappeler que bien que les formalités administratives relatives à l’organisation de cette marche n’aient pas été respectées, les autorités en charge du maintien de l’ordre ont pris toutes les dispositions pour éviter les débordements.
Il est d’ailleurs étonnant qu’Amnesty International déclare que les manifestants se rendaient « dans un stade » alors même que la lettre informative signée par un des organisateurs de la marche, n’en fait pas état. Lettre informative qui, par ailleurs, ne mentionne aucune des données requises par la réglementation en vigueur pour l’encadrement sécuritaire.
Sur le point 3 :
Il nous paraît surprenant pour une ONG de votre réputation d’insinuer que les autorités en charge du maintien de l’ordre aient pu favoriser un usage disproportionné de la force sans même avoir pris attache avec les services concernés.
Nous vous informons que, mis à part les décès, le bilan de cette manifestation est de :
- 24 gendarmes et 4 policiers blessés, dont plusieurs cas graves
- Une gendarmerie saccagée et des armes emportées
- Plusieurs véhicules et édifices endommagés
Malgré cette extrême violence préméditée des manifestants, les personnes interpellées y compris les mineurs, pour trouble à l’ordre public suivi de vandalisme, l’ont été dans les conditions définies par la Loi. Aucune de ces personnes n’a subi le moindre sévices.
Nous vous informons par ailleurs que tous les mineurs de 13 ans arrêtés ont été libérés et que ceux entre 15 et 17 ans ont également été libérés après avoir été prévenus qu’étant pleinement conscients de leurs actes, ils subiraient les rigueurs de la Loi en cas de récidive.
Enfin, nous avons noté avec consternation que votre rapport procède à un amalgame malsain entre les événements douloureux du 28 septembre 2009 et ceux qui viennent de survenir.
Vous comprendrez donc qu’il y a lieu de s’interroger sur votre narration et interprétation de ces événements.
Au moment où la communauté internationale associe ses efforts à ceux du gouvernement guinéen pour la consolidation de la Paix, le renforcement de la démocratie et de l’unité nationale, il serait souhaitable qu’Amnesty International prenne la pleine mesure de ses responsabilités dans cette phase de construction de la démocratie guinéenne.
Les autorités guinéennes ont beaucoup de respect pour Amnesty International. Nous souhaitons qu’à l’avenir, cette institution vérifie mieux les faits avant de faire des déclarations et l’invitons à venir sur place effectuer ses enquêtes.
Le Ministre de la Communication
Porte Parole du Gouvernement
Libellés :
guinee
Lancement de la Radio Panafricaine LPC-UMOJA
Un an après sa création, la Ligue Panafricaine du Congo-UMOJA lance sur le net sa radio.
Nouveau challenge, après les Conférences-débats, la sortie de son livre intitulé "La vision de la Ligue Panafricaine du Congo-UMOJA - Contributions au débat public", chez l'Harmattan, voici la "Radio Panafricaine LPC-UMOJA".
Cette dernière est pour l'instant en période de "tests", les adhérents s'attèlent à la grille des programmes qui suivra la période de "tests".
Pour écouter la radio, cliquez sur l'un des liens suivants :
Inscription à :
Articles (Atom)