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mercredi 21 septembre 2011

Blockhauss se révolte contre les bouviers FRCI de Ouattara


Dans la nuit du mardi 20 septembre 2011,les idiots FRCI du préfet ouattara ont tiré sur des jeunes du village Ébrié de Blockhauss.La révolte de la population a été immédiate.Les idiots de ouattara ont été sévèrement battus,désarmés et leur véhicule incendié.La population de Blockhauss ne veut plus de ces bouviers dans leur village.Depuis ce matin toutes les entrées et sorties du village sont bloqués par les bouviers FRCI venus en grand nombre.Fait troublant les soldats français de la Licorne sont également présents en grand nombre avec des armes de guerre.

SARKOZY ET LE PREFET OUATTARA, LES PERES DE L' ANARCHIE EN CÔTE D'IVOIRE


Œil pour œil, dent pour dent. C'est un peu la caricature qu'on peut faire de la scène sanglante et mortelle, qui s'est produite à la nouvelle gare routière d'Adjamé. Deux morts y ont été déplorés. C'était le jeudi 15 septembre 2011. Des informations reçues, on retient que ce jour-là, un malfaiteur chevronné, connu sous le pseudonyme de Aimzo, commet un vol. Poursuivi par la clameur, le malfaiteur bat le pavé comme un athlète digne de ce ce nom, quand surgit devant lui, un individu déterminé à le faire coincer. Ce dernier tend la jambe, que vient hurter le voleur solitaire. Aimzo s'écroule. Lorsqu'il se relève, il sort son arme à feu et en fait usage à l'aveuglette. Il atteint au bras, un jeune commerçant du nom d'Abou. Poursuivant ensuite dans sa fuite, une fois de plus, Aimzo libère une autre décharge et cette fois, tue l'apprenti de gbaka du nom de Sangaré Adama. Malgré cela, l'étau se ressert sur lui et il est appréhendé par une foule compacte. Il est battu jusqu'à ce que mort s'ensuive. Un individu passant par là, et se réclamant des Frci, s'empare de l'arme à feu du bandit et disparaît tout de suite après, à bord d'une Mercedes. La police est arrivée sur les lieux pour le constat d'usage et a ouvert une enquête. Notons qu'Abou le blessé, selon nos sources, a été évacué aux urgences du Chu de Treichville, où la balle lui a été extraite du bras.



KIKIE Ahou Nazaire in Soir Info

dimanche 18 septembre 2011

Bédiala : Les bouviers FRCI de ouattara font 2 morts et 11 blessés graves


Le mardi 30 août 2011,alors qu’il revenait du champ sous une forte pluie,Séhi Bi Gohi Hypolite est intercepté par deux éléments des FRCI abrités sous un hangar.Ceux-ci lui intiment l’ordre d’aller acheter des cigarettes.Vu l’état dans lequel il se trouve (il était mouillé),Séhi Bi leur demande de patienter le temps d’aller se changer les vêtements pour revenir exécuter la mission qui lui est confiée.«Un militaire, de surcroit un chef, t’envoie et tu as de quoi à dire», lui lance l’un des soldats tout en s’approchant de lui. Sans une autre forme de procès, ils se mettent à le tabasser avec leur ceinturon non sans marcher sur son ventre. Et comme si cela ne suffit pas, ils le déshabillent et tirent son sexe. Après leur forfait, ils l’abandonnent et rentrent au corridor qu’ils ont dressé à l’entrée de Bédiala. Ne pouvant pas supporter la douleur, Séhi Bi se couche à plat ventre jusqu’à ce que ses frères viennent le chercher quelques instants après. Son géniteur, Zah Bi Séhi Gilbert, qui a raconté ces faits, revient du champ et apprend le calvaire de son fils par son épouse qui répond au nom de Yohou Yvette. Pour en savoir plus sur cette affaire, il se rend au poste de contrôle en compagnie de ses enfants. Arrivé là-bas, il s’adresse au militaire arrêté devant la porte. Celui-ci lui indique le bureau du chef de poste. Mais, grande est la surprise de ce septuagénaire de se voir chassé par le chef de poste sous le fallacieux prétexte qu’il n’a pas frappé à la porte. Alors qu’il donne des explications au  militaire, il entend des cris de ses enfants au dehors. Ces cris traduisaient un danger. Sorti précipitamment, il trouve ses enfants trimballés par les FRCI vers le bureau de La Poste érigé en commissariat de la ville. Sans se faire prier, il se joint à ses enfants et demande aux militaires de l’emprisonner avec eux. Toujours selon ses propres termes, quatre éléments des FRCI se jettent sur lui et le tabassent copieusement à sang. «J’ai 70 ans. A cet âge, c’est difficile de supporter la bastonnade de quatre jeunes, militaires de surcroit. Quand ils nous ont jetés en boîte, ils sont revenus sur leur pas et ont commencé à battre tous les hommes qu’ils rencontraient sur leur chemin. Le bilan est lourd : 11 personnes ont été blessées (voir photo) dont une dans un état grave», raconte le vieux Zah Bi Séhi Gilbert venu se soigner à Abidjan. Et d’indiquer que si c’est la première fois que cet incident se produit dans la ville de Bédiala, il est monnaie courante dans les villages. Pour preuve, récemment, deux jeunes ont été battus dans le village de Gnanmanou et ont succombé à leurs blessures quelques heures après. 


Une correspondance de Emile Kian

Méagui:Les miliciens Frci tabassent et enferment le chef des Abron dans le coffre de son véhicule


Le chef de la communauté Abron de Méagui,Alphonse Kouakou, par ailleurs président des couturiers de la ville et propriétaire d’une compagnie de transport Méagui-Abidjan a été victime d’une barbarie inouïe des Frci.Nos sources expliquent que ces derniers l’ont tabassé et mis dans le coffre de son propre véhicule avant d’être conduit à la brigade de gendarmerie toujours occupée par cette nouvelle race de soldats au service de Ouattara.
Les faits rapportés se sont déroulés dans la nuit du lundi 12 septembre. Cette nuit, explique-t-on, le chef Alphonse Kouakou a aperçu son guichetier qui était visiblement en difficulté aux mains des Frci. Il est alors allé s’enquérir des raisons des ennuis de son employé. Et c’est son intervention qui a vexé les Frci qui ont, dit-on, estimé qu’il se mêlait de ce qui ne le regarde pas. Il a été immédiatement pris à partie par ces éléments armés qui étaient dirigés par un certain Mamadi. Ils tabassent copieusement l’autorité traditionnelle et la mettent dans le coffre de son propre véhicule de marque BMW avant de le conduire à la brigade de gendarmerie où il sera libéré après de longues heures de détention.
Selon nos sources, le chef des Abron a ressenti ce traitement inhumain comme une humiliation. Par conséquent, il a porté plainte auprès de Ezoua Serge, patron des Frci, pour coups et blessures et détention arbitraire. Mais les témoins indiquent qu’ils ont été scandalisés d’entendre Ezoua Serge proposer au chef Alphonse Kouakou un règlement à l’amiable au motif qu’il est mal placé pour incriminer son élément. A qui il a d’ailleurs présenté des excuses pour, peut-être, avoir été dérangé par la plainte de sa victime. Ainsi va la République sous Ouattara. 

Benjamin Koré

Yopougon braquage: 2 bouviers Frci abattus par un FDS ( FUMACO)



Un fait insolite s’est passé samedi 10 septembre dernier à Yopougon Niangon nord, précisé ment au carrefour Lubrafrique. Aux environs de 19 heures. Des individus armés d’armes d’assaut, en tenue militaire, certainement des éléments des rebelles Frci, ont fait irruption dans un supermarché où ils ont fait main bas se sur la recette. Une fois dehors, les braqueurs dont certains arboraient des bérets rouges font obligation aux passants et automobilistes de quitter les lieux quand arrive M. K, qui regagnait son domicile à bord de son véhicule de type Mercedes. Cinq d’entre eux intiment à l’automobiliste qui ne se doutait de rien d’immobiliser son véhicule. Croyant à un contrôle de routine des rebelles Frci, M. K, ex-membre de la compagnie Fumaco, unité d’élite des ex-forces armées nationales de Côte d’Ivoire (Fanci), s’exécute. Mais alors qu’il s’attendait à ce qu’on lui demande les pièces de son véhicule, une arme lui est plantée sur la tempe. Deux des agresseurs prennent place aussitôt dans la Mercedes et procèdent à une fouille corporelle du conducteur. Après quoi, ils lui intiment de continuer de rouler. Mais contre toute attente, la randonnée qui s’annonçait très longue n’aura pas duré. Le véhicule n’ira pas bien loin que les agresseurs se laisseront surprendre par leur victime.
Bon pratiquant des arts martiaux, l’ex-agent des Fumaco garde son sang froid et réussi à neutraliser les deux Frci braqueurs. A l’aide de son pistolet qu’il a réussi à prendre en simulant une manœuvre, l’ancien militaire dont la vie était gravement menacée met hors d’état de nuire le quidam assis à ses cotés. Le second Frci qui ne s’attendait pas à une pareille situation se fera également surprendre par l’ex-agent des forces de défense et de sécurité. Le tout, en une fraction de seconde, alors qu’il gardait une main sur la direction du véhicule qui continuait de rouler.
Il faut le dire, si M. K est encore en vie, c’est parcequ’il a su faire preuve de dextérité et de courage. C’est tout en sang qu’il quittera les lieux, à bord de sa voiture criblée de balles. Les corps sans vie des deux quidams sont restés longtemps sur le lieu où ils ont été abattus.
Les populations, malgré les craintes de représailles, ont pu satisfaire leur curiosité. Les témoins ont ainsi pu voir de loin les cartes professionnelles «blanches» des rebelles Frci qui servent à identifier les éléments des Frci. Personne n’a donc pu découvrir l’identité des deux rebelles Frci braqueurs mis hors d’état de nuire jusqu’à ce que leurs «frères d’arme», en nombre impressionnant, débarquent sur les lieux, lourdement armés et l’air très nerveux. La police criminelle, après les enquêtes d’usage, décide de confisquer l’arme du militaire pour nécessité d’enquête. Très vite, elle reviendra sur sa décision après avoir constaté que les témoignages confirment la déposition de l’agent des Fumaco.

Il est donc rentré en possession de son arme est contraint de rentrer en clandestinité. Informée, la police de l’Onuci (une autre branche de la rebellion) a tenté de le rencontrer. Mais le militaire qui craint d’être attiré dans un guet-apens n’a pas donné une suite favorable.

Emmanuel Akani in Le Nouveau Courrier

jeudi 15 septembre 2011

Agboville-Des FRCI tirent sur un car : 3 morts, des blessés gravesi



Des éléments des Forces républicaines se sont encore négativement illustrés hier, dans le département d’Agboville, en tirant à bout portant sur 18 passagers d’un minicar qui se rendaient à Agboville en provenance de Guessi-Guié, chef lieu de sous-préfecture situé à 25 kilomètres d’Agboville. Le bilan de cette énième tuerie des FRCI est lourd : une passagère (une dame) tuée sur le coup, deux autres passagers succombent de leurs graves blessures au Centre hospitalier régional d’Agboville (CHR). Cette triste nouvelle qui endeuille à nouveau des familles dans cette Côte d’Ivoire qui n’a pas encore fini de pleurer ses morts, a été confirmée hier par l’état-major des armées qui n’a pas donné les raisons de ces tueries. Mais, selon des sources dignes de foi, il s’agit d’une tentative de racket du conducteur du car par des éléments des FRCI. N’en pouvant plus d’être racketté tous les jours par ces soldats, il a refusé cette fois-ci de leur payer ce qu’ils ont l’habitude de lui demander. Les racketteurs ont trouvé cela inacceptable. Ils ont alors ouvert immédiatement le feu sur le car. Les faits se sont déroulés à quelques kilomètres d’Agboville. Selon des sources bien informées, ces agissements déplorables et la mort inutile des trois passagers de ce minicar ont provoqué l’émoi et la consternation au sein des paisibles populations d’Agboville. Des responsables de l’administration préfectorale et sous-préfectorale, se sont rendus au chevet des blessés, admis d’urgence au CHR d’Agboville.


Charles Bédé

Cruauté à Zikisso: Le père d’un cadre du Fpi battu à mort par les bouviers FRCI



Le vieux Kouassi Jean-Baptiste,80 ans passés et originaire de Zatoboua à 10 Km de Zikisso est décédé le mercredi 7 septembre 2011 dans un centre de formation sanitaire d’Abidjan où il a été évacué d’urgence.Le vieux Kouassi Jean-Baptiste n’est autre que le père de Prosper Kouassi,cadre du Fpi,vice-président du Conseil général de Lakota.Jean-Baptiste Kouassi avait été admis dans cet hôpital abidjanais des suites de violents coups de bottes et de cross que lui ont administrés quelques temps au paravent chez lui à Zatoboua, de nombreux éléments des Frci venus de Lakota. « Ils sont venus une première fois et ont frappé le vieux non sans lui demander de l’argent. Une autre fois, ils sont revenus plus nombreux et plus agressifs. Ils ont encore violemment bastonné le vieux. Ils ont tout abimé chez lui. Ils l’ont torturé. Ils l’ont trainé par terre dans sa cour et devant tout le village. Ils ont demandé au vieux de lui montrer là où son fils a gardé l’argent du cacao-café qu’il a volé avec les Tapé Do, Henri Amouzou et autres. Le vieux a dit ne rien savoir de tout cela, mais ils l’ont copieusement battu. Ils sont vraiment méchants. On savait qu’il n’allait pas survivre, » témoigne la gorge nouée d’émotion, des habitants de Zatoboua joints par téléphone.

Ibo Cheik Oumar

lundi 12 septembre 2011

Soubré : Les bouviers Frci tabassent le correspondant de Notre Voie



Sale temps que celui vécu à Soubré (centre-ouest) dans la nuit du samedi 10 à dimanche 11 septembre 2011 par Symphorien Robalé, Journaliste à Notre Voie et correspondant régional à Soubré. Selon des témoins oculaires, notre collègue a été sauvagement tabassé au quartier Kennedy par des éléments de Dotia Koné, commandant des Frci à Soubré. Alors que le journaliste et des amis avaient fini de prendre un pot. Simple scène de jalousie ou acte de haine prémédité. En tout cas, à Soubré, l’affaire provoque actuellement un grand choc au sein des populations. « Il a dit simplement un au revoir à des jeunes filles qui étaient assises à côté de lui, quand il a été violemment pris à partie par les Frci. Malgré le sang-froid du journaliste, les éléments Frci sur place sollicitent un renfort et vite, le journaliste est encerclé par une horde de militaires de Ouattara surexcités qui le tabassent sauvagement. Peut-être, ont-ils pensé que le journaliste entretenait des rapports avec ces filles », expliquent des sources sur place. Et qui ajoutent que c’est dégoulinant de sang que le confrère a quitté les lieux. A la brigade de gendarmerie où il s’est rendu pour porter plainte contre ses bourreaux, les forces pro-Ouattara ont refusé de le recevoir sous le prétexte qu’il est écrit pour un journal proche de Gbagbo.

Ibo Cheick Oumar 

Yopougon quartier Maroc: Un bouvier FRCI agresse sauvagement un gendarme et se fait tabasser



La scène se passe une après-midi de la semaine dernière, dans la commune de Yopougon, précisément au quartier Maroc. Un gendarme qui n’est pas en service ce jour-là, après une visite à ses frères d’armes qui habitent non loin de chez lui, regagne tranquillement son domicile. Grande est sa surprise lorsqu’il est accosté violemment par un agent des FRCI, qui habite chez ses parents à quelques mètres seulement du domicile de ce gendarme. Le connaissant très bien pour être un cohabitant, l’agent des FRCI, kalachnikov en main, lui demande sur un ton belliqueux pourquoi il n’est pas en tenue. Le gendarme lui répond poliment, bien que sachant très bien qu’il s’agit d’une provocation, qu’il est de repos et que lorsqu’on est de repos, le port de la tenue de gendarme n’est pas nécessaire. Après cette réponse appropriée, et contre toute attente, l’agent des FRCI qui se tourne les pouces dans ce quartier depuis plus d’un mois lui envoie un violent coup de poing qu’il esquive, un second coup de poing qui l’atteint cette fois-ci au menton. Le gendarme titube, se ressaisit et trouve le temps, malgré cette violente agression, de poser la question suivante : «Tu as un problème avec moi ? Tu as quel problème frère ! Evitons les histoires! Tu habites près de chez moi et puis tu te comportes comme ça!». La réponse de l’agresseur se passe de commentaires. «Vous les gens de Gbagbo-là, on va vous tuer un à un». L’agresseur n’aura pas le temps de pointer sa kalachnikov vers le gendarme. Des corps habillés (policiers et gendarmes) et des civils qui habitent dans les environs, alertés par des témoins, accourent sur le lieu de l’agression et tentent de raisonner l’agresseur qui les menace physiquement avec son arme, en présence de l’agressé. Cet agent des FRCI apprend rapidement à ses dépens que les exactions ont leurs limites. Il est copieusement tabassé et «corrigé» par des gendarmes du quartier. Il doit son salut à ses parents appelés d’urgence et qui reconnaissent que leur fils a fauté. Ils ont demandé pardon à l’agressé qui l’a accepté sans rancune, dit-on, pour une bonne cohabitation des habitants de ce quartier.


Charles Bédé

jeudi 11 août 2011

Saïoua :Les génocidaires Frci attaquent Takouahio et enlèvent 12 jeunes


Les Frci ont perpétré des violences sur les populations du village de Takouahio, dans la sous-préfecture de Saïoua. Les faits se sont passés le mercredi 3 août. Selon nos différentes sources, 4 éléments se sont rendus dans le village de l’ex-député de Saïoua, feu Dr. Gbédégné Guigui, dans le but d’amener avec eux, un jeune répondant au nom de Nadjé Kéké qui, dit-on, aurait agressé un Libanais en 2007. Les nouveaux justiciers d’Alassane Ouattara ne trouvent pas ce jeune dans le village, mais ils veulent que coûte que coûte amener sa femme qu’ils battent d’ailleurs. Les populations refusent de les laisser prendre la dame et la tension monte entre les villageois et les militaires kidnappeurs. Une bagarre s’ensuit et les hommes en arme battent en retraite pour revenir avec du renfort. La suite est connue. Les Frci battent à sang des villageois, et procèdent à l’arrestation de 12 personnes qui se trouvent actuellement dans leur camp à Saïoua, en train de subir toutes les tortures inimaginables.